Au son d’une musique de circonstance (Antoine Bédard) et sous des éclairages (Robin Kittel-Ouimet) subtils, mais très efficaces, Évelyne Rompré casse la baraque. Courez la voir jusqu’au 15 février.
Browsing: drame
Un peu poquée, à l’instar de bon nombre de ces jeunes qui entrent et sortent du système de la DPJ, Monstres apporte un point de vue très humain à cette crise qui dévore lentement notre société. À voir.
Malgré tout, on apprécie grandement le jeu des quatre interprètes, Isabelle Blais, David Boutin, Inès Defossé et Alice Pascual, qui virevoltent à travers les magnifiques gigantesques pièces amovibles du décor. Et si la réflexion sociologique et philosophique de Contre toi est incomplète, il s’agit tout de même d’un fort agréable moment de théâtre.
Troisième film de la réalisatrice Gia Coppola, THE LAST SHOWGIRL présente la vie de femmes usées par la vie, à qui l’on décide de couper les ailes, une fois leur « date de péremption » atteinte.
Edwart Berger lève le voile sur les manigances, les manipulations et les luttes de pouvoir se déroulant entre les murs du Vatican, lorsque vient le temps de remplacer le pape.
Le texte d’Anatomie d’un suicide, notamment avec ses échanges quasiment intergénérationnels, est très bien interprété par une solide distribution. Dommage, toutefois, que plusieurs autres éléments viennent franchement gâcher l’expérience. Le sujet est brutal, mais nécessaire, certes. Ce qui est moins nécessaire, c’est d’irriter les spectateurs.
Trente ans après sa sortie, ce film réalisé et coscénarisé par Patrice Chérault crève toujours l’écran. Chloé Baril et Hugo Prévost discutent de ce chef-d’oeuvre indémodable.
Maria est un film qui célèbre, qui enchante, lumineux au possible, continuellement soigné, visuellement riche et magnifique, musicalement ensorcelant, comme l’offre, sous forme d’un cadeau, d’une voix qu’on n’est pas prêt d’oublier.
Malgré certaines longueurs et quelques aspérités, le Hamlet d’Ambroise Thomas est une très bonne façon de varier nos plaisirs tout en renouant avec l’un des grands classiques du maître du théâtre dramatique. Une production fort bien réussie qui nous rappelle que l’amour peut encore mener au bonheur, mais aussi à la folie et à la mort…
Belle, triste, particulièrement bien jouée, le tout dans un espace scénique utilisé à son plein potentiel, Iphigénie est la preuve, hors de tout doute, qu’il est encore possible de raconter des mythes fondateurs en adoptant une approche contemporaine, sans rien enlever à la pertinence de l’oeuvre originale.