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Il a beaucoup été question de l’approche de la Suède depuis le début de la pandémie. Sa gestion de la crise, assez unique, lui a valu de nombreuses critiques. S’agit-il d’un échec ou le verdict est-il encore à venir?

Après la montre et le téléphone, céderez-vous à l’attrait de la toilette « intelligente »? Cette future toilette autonome, rapporte une récente étude publiée dans Nature, offrirait une surveillance de la santé personnalisée, par l’analyse de l’urine et des excréments et la collecte d’autres données directement dans le bol à l’aide de senseurs et de capteurs de pression et de mouvement.

Est-il véritablement possible de cacher complètement ses gestes en ligne? Des chercheurs, publiés dans l’International Journal of Electronic Governance, ont tenté de savoir si une série de cinq applications « anonymes » pour médias sociaux sont véritablement sécuritaires, ou si elles permettent plutôt à des tierces parties d’avoir accès à des informations personnelles ou de suivre les utilisateurs à la trace.

Des chercheurs et ceux qui les financent ont donné à Facebook jusqu’au 30 septembre pour fournir les données promises par la compagnie, sans quoi ils mettront fin à un partenariat entrepris l’an dernier dans le but d’étudier les impacts des réseaux sociaux sur la démocratie.

Le nombre de travailleurs occupant des postes temporaires augmente peu à peu au pays, révèle une note d’information publiée mardi par Statistique Canada. L’agence fédérale précise toutefois que ces employés représente une part « relativement faible » de l’ensemble de la main-d’oeuvre canadienne.

Les livres peuvent brûler. Les ordinateurs peuvent être piratés. Les DVD se dégradent avec le temps. Les technologies pour stocker des informations continuent de s’améliorer, mais des menaces aussi simples que l’eau ou aussi complexes que les cyberattaques peuvent continuer de mettre en danger nos données. Des chercheurs de Harvard envisagent maintenant une solution « permanente »: les protéines.

Une nouvelle analyse effectuée par des chercheurs du Oxford Internet Institute (OII), rattaché à l’Université Oxford, permet de prédire que les morts pourraient bien être plus nombreux que les vivants sur Facebook d’ici 50 ans, une tendance qui aura d’importantes implications en ce qui concerne la gestion de notre héritage numérique.