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Les enfants canadiens âgés de 1 à 17 ans étaient en bonne santé mentale l’an dernier, selon ce qu’ont confié leurs parents à Statistique Canada. En pleine pandémie, toutefois, cette santé mentale s’est largement dégradée; une situation qui pourrait laisser présager de problèmes à venir, alors que le déconfinement se poursuit, peu à peu, mais que la rentrée scolaire en classe, où se trouvent généralement les ressources en santé mentale destinées aux jeunes, n’est toujours pas garantie.

De nombreux travailleurs de la santé sont confrontés à un fardeau psychologique, alors qu’ils sont aux premières lignes d’une crise sanitaire sans précédent. Infirmières, médecins, préposés et autres, travaillent depuis des semaines, voire des mois, afin d’aider ceux qui souffrent du nouveau coronavirus, mais ils ont eux aussi du mal à rester à flot, rapporte un récent article de Science.

Difficultés à se réveiller, cerveau embrumé, envie de se rendormir pendant la journée… Nous avons tendance à nous alarmer lorsque nous faisons de l’insomnie, mais faudrait-il également s’inquiéter lorsque nous souffrons d’hypersomnie, un endormissement diurne à répétition?

À voir leurs adolescents « scotchés » à leur téléphone à échanger des photos et commentaires sur les réseaux sociaux, nombre de parents s’inquiètent. Et non sans raison, puisque rien que dans la dernière année, au moins trois études ont associé les médias sociaux à un risque accru de dépression chez les adolescents. Le Détecteur de rumeurs s’est penché sur ce que dit vraiment la science.

Les milléniaux ont beau être bien souvent branchés sur les médias sociaux, ils formeraient la génération qui éprouve le plus un sentiment de solitude. Cette conclusion découle d’une enquête réalisée l’été dernier par YouGov, où les membres de cette génération se sentiraient plus seuls que les membres de la génération X ou les Baby Boomers.

Près du quart des mères canadiennes ont souffert de dépression post-partum ou d’un trouble anxieux après avoir donné naissance à leur enfant, révèle une note d’information de Statistique Canada diffusée récemment. Au Québec, cette proportion s’établit à 23%, ce qui correspond à la moyenne nationale.

Des scientifiques ont produit plusieurs centaines d’études pendant 23 ans à partir d’un principe faux: l’idée selon laquelle un petit nombre de gènes influencerait l’état dépressif. Une étude publiée en mars dernier en fait la démonstration, rapportait récemment un article de The Atlantic.