Les ondes gravitationnelles pourraient peut-être, par exemple, devenir un outil pour « voir » la matière sombre et l’énergie sombre, de la même façon que, ces dernières années, elles sont devenues un outil pour « voir » les trous noirs.
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Cette étude permet aussi de démontrer que les Hommes de Néandertal, qui vivaient à la même époque que les humains ayant occupé la grotte à cette période précise, n’ont pas conçu des armes à propulsion mécaniques, comme l’arc ou d’autres lanceurs.
Les auteurs suggèrent eux-mêmes que leur tableau manque peut-être de nuances : un de leurs constats est que, bien que toutes les courbes générales tendent vers le bas, il y a un aussi grand nombre d’articles « disruptifs » qu’avant. De quoi inspirer de futures recherches sur ce qui distingue ces articles des autres…
On trouvait dans le nord du Groenland, il y a 2 millions d’années, des épinettes, des aubépines et différentes fleurs — en tout, une centaine d’espèces de plantes, ainsi qu’on s’y attendrait dans une forêt, ou « un écosystème ».
Bien qu’on ait trouvé dans de l’ambre, au fil des siècles, d’autres fourmis fossilisées de différentes espèces, les chercheurs n’avaient identifié jusqu’ici qu’une seule autre fourmi légionnaire, vieille de 16 millions d’années, en République dominicaine.
Les artistes peuvent présenter leur démarche dans un format accessible qui n’est ni obscur, ni prétentieux.
Sur un navire, avant d’entendre retentir la célèbre expression « En avant, toute ! », un autre ordre doit d’abord avoir été donné et c’est « Larguez les amarres! ». Larguez les amarres, ça peut aussi vouloir dire, abandonnez toutes attaches. Voilà ce qui semble avoir été le lot, le choix de Jean-Jacques Audubon, un célèbre naturaliste qui a passé la plus grande partie de sa vie à parcourir une grande partie du continent nord-américain pour tenter d’apaiser sa soif de découvertes.
Après les graffitis sur les murs, voilà que surgissent sur les trottoirs et les chaussées d’éphémères inscriptions… botaniques: armoise, digitaire pourpre, laitue sauvage, marguerite, lilas… Des botanistes écrivent à la craie les noms des plantes et arbres urbains, dans le but de rapprocher les citadins de la flore de leurs villes.
Il ne respire pas l’oxygène. Et pourtant, il vit… et on ne sait pas trop d’où il tire son énergie.
Partir. Partir au loin en laissant tout derrière soi. Mais pour aller où, au fait? Dans Jack, oeuvre douce-amère de Marie-Pierre Proulx présentée au Théâtre La Licorne, une jeune héroïne part explorer l’inconnu, sur les traces d’un mystérieux grand-père, mais aussi d’un grand écrivain.