« Les nations de cette région sont actuellement mal équipées pour gérer les impacts coûteux et nuisibles de ce problème mondial, qui est gigantesque et d’origine externe. »
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Chaque année, l’industrie de la mode produit plus de 92 millions de tonnes de déchets textiles, rappelle Mme Perry. Seulement aux États-Unis, les articles de mode renvoyés aux détaillants entraînent plus d’émissions de CO2 que l’équivalent de trois millions de voitures.
En 2018, près d’un million de tonnes de produits se sont retrouvées dans les centres de tri du Québec.
11 brefs essais pour des villes résilientes et durables se retrouvera, espère-t-on, entre les mains de tous les maires portés au pouvoir, la semaine dernière.
Des chercheurs ont créé un matériau à base de plantes qui pourrait remplacer les plastiques à usage unique dans plusieurs produits de consommation.
Des chercheurs de l’Université de Washington ont conçu un filtre qui traite les eaux usées et permet aussi de produire de l’électricité. Selon les chercheurs, cette percée pourrait permettre de transformer l’utilisation de l’énergie dans les usines de traitement.
La quantité de déchets de plastique continue d’augmenter chaque année. Une partie de ces résidus est imputable aux emballages plastiques utilisés pour protéger la nourriture; dans le cadre du projet BioActiveMaterials, des chercheurs de l’institut Fraunhofer-Gesellschaft, en Allemagne, ont mis au point un enduit « vert » pour des emballages en papier. Ainsi, non seulement moins de plastique est consommé, mais cet enduit composé de protéines végétales et de cires prolonge aussi la durée de vie de la nourriture.
La santé de « dizaines de millions de personnes » serait mise à mal par la mauvaise gestion des déchets produits par nos villes et nos usines, notamment lorsque ces rebuts sont brûlés, révèle une récente étude mondiale réalisée par l’Université de Leeds, au Royaume-Uni.
Depuis une dizaine d’années, de nombreuses villes et plusieurs pays ont banni les sacs de plastique à usage unique. Cette interdiction apporte-t-elle tous les bienfaits pour l’environnement qu’on lui prête? La réponse est loin d’être tranchée, constate le Détecteur de rumeurs.
S’inspirer des recherches menées sur le vivant pour rendre les procédés miniers plus éco-responsables, est-ce possible? « Ce qui nous intéresse, c’est de remplacer les produits chimiques utilisés lors de la séparation des minerais par des particules organiques dégradables et moins nocives », explique l’ingénieur chimique Alain Garnier, de l’Université Laval.