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Sans provoquer d’inondation, l’artiste joue de ces fuites dans une chorégraphie performative et sonore, parfois douce parfois proche de la transe. Tout un jeu érotique s’organise avec trois chevelures mouillées, celle de l’artiste et deux autres qu’elle agite dans les airs et sur son corps.

Au fil de scènes tantôt poétiques, tantôt émotives, tantôt amusantes, tantôt libératrices, tantôt inquiétantes et on en passe, au moment où le film semble prêt à livrer ses secrets vers son dernier tour de piste, voilà qu’au détour d’un habile virage scénaristique et d’une mise en scène virtuose, Haigh vient complètement brouiller toutes les pistes possibles.

Astérix et sa bande ont fait vibrer des générations de lecteur petits et grands depuis les années 1960, et c’est un grand plaisir de constater que l’esprit de la série est toujours bien vivant dans L’iris blanc. Il s’agit d’un album très réussi, que les amateurs de bandes dessinées seront heureux de retrouver sous le sapin.

La prestation unique de Searching For Goya réserve une expérience digne des scènes new-yorkaises que la compagnie connaît bien. « Il faut venir à notre rencontre, au nom de la passion de vivre, de la compassion et de l’humanité. »

Quoi qu’il en soit, Bodies est une série certainement divertissante qui permettra de s’octroyer une petite dose d’adrénaline, assis seul ou à plusieurs devant le téléviseur. Une façon tout à fait agréable de se divertir, sans que l’on ait besoin de quelque chose de plus profond.

Empreint d’une grande force émotionnelle et d’un humanisme touchant, The Color Purple n’a rien perdu de sa pertinence près de quatre décennies après sa sortie initiale. On ne peut que se réjouir que les nouvelles générations aient accès à ce petit bijou du cinéma par le biais de cette version restaurée en 4K.

Le florilège étonne toujours et le public (tout comme les fantômes de La Tulipe) espère vivement une nouvelle guirlande de contes, l’an prochain. Mais avant de partir, faisons une dernière prière. Pour que le père Noël, quand il descendra du ciel, n’oublie pas notre petit soulier, assurons-nous de rester sages (ou pas) toute l’année.

Poor Things est donc une oeuvre vibrante. Un mélange de genres d’apparence incongru, mais qui fonctionne à plein régime puisque la vision de son chef d’orchestre pourrait difficilement être plus claire, tout en se permettant d’être savoureusement tordue.