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Dans le Songe d’une nuit d’été joué à Denise Pelletier, les Dieux sont des idoles hollywoodiennes, le genre et l’orientation des créatures magique se fait plus fluide et les cœurs adolescents s’amourachent avec toute la passion de cet âge. On sent le commentaire des deux créateurs sur le propos de l’œuvre shakespearienne de par les libertés prises.

Après un attentat à la bombe à Stockholm et pendant l’escalade de xénophobie qui s’ensuivit, l’auteur suédois et tunisien Jonas Hassen Khemiri a traité ouvertement de ses peurs dans un grand journal suédois en 2010. Dérivée de ce texte, la pièce J’appelle mes frères est mise en scène par la directrice artistique du Théâtre de l’Opsis, Luce Pelletier abordant le problème racial de la couleur de la peau dans les Maisons de culture de Montréal du 23 mars au 3 mai.

Dans le désert, un rocher n’est pas comme les autres: c’est un faux. Et c’est dans le but de retrouver ledit rocher artificiel que le réalisateur Pierre Bismuth tournera Where Is Rocky II, un film complètement déjanté présenté dans le cadre du Festival international du film sur l’art (FIFA).

Ils sont jeunes. Ils sont coincés en banlieue. Ils errent dans cette zone grise faite de villes-dortoirs et de centre commerciaux beige et habituellement seulement accessibles par voiture. Bienvenue dans Hamster.

L’heure était à la promenade dans les rues chargées d’histoire de Prague, jeudi dernier à la Maison symphonique, alors que l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) présentait un programme réunissant Mozart et Dvorak autour de morceaux évoquant la capitale de la République tchèque.

Sous la direction de Chrystine Brouillet et Geneviève Lefebvre, les Éditions Druide viennent de faire paraître Treize à table, un recueil de nouvelles qui s’articulent toutes autour de la nourriture. Pas surprenant, compte tenu des intérêts gastronomiques bien connus de Madame Brouillet.

Yoann Bourgeois, metteur en scène français influencé par le cirque autant que par la danse est invité pour la première fois dans l’antre circassienne Montréalaise. Bien loin de ce qui est habituellement présenté à la Tohu, Celui qui tombe est un spectacle pour le moins… contemporain.

Les affres, les doutes, les incertitudes et on en passe de l’homosexualité en pleine adolescence enfin traités à grande échelle dans un film qui se déploie comme toutes bonnes comédies romantiques pour ados. Un beau pas en avant, tardif cela dit, qui ne manque pas de s’en permettre plusieurs autres en arrière malgré toute l’efficacité de la chose.