Du conflit colombien à la bohème montréalaise, l’auteur Edwin Bermudez s’inspire de son vécu dans son recueil de nouvelles Contes héroïques paru chez Mon Petit Éditeur en 2017. Le lancement du livre aura lieu le 2 avril à l’EtOH Brasserie, dans le quartier Villeray, à 17 heures.
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Ils sont riches, ils sont bien installés au soleil et ils sont entre eux: si plusieurs milliers, voire plusieurs centaines de milliers de Québécois prennent chaque hiver le chemin de la Floride, les clients du Aztec RV Resort, eux, vivent la grande vie.
À l’exception du magasin IKEA et son procédé particulier, le commun des mortels a peu accès aux cultures nordiques qui planent dans nos imaginaires via les contes d’Andersen, la musique d’ABBA et les vestiges archéologiques de Terre-Neuve.
L’an de grâce 1936. L’Allemagne nazie se complaît dans sa splendeur fasciste en tenant les Jeux olympiques d’été. L’occasion, pour la dictature à la croix gammée, d’impressionner la planète. Et grâce au film de Jérôme Prieur, présenté dans le cadre du Festival international du film sur l’art (FIFA), l’occasion est donnée au public de 2017 de revivre cet événement à la fois spectaculaire et lugubre.
Du monument littéraire qu’était – et qu’est encore – l’auteure anglaise Agatha Christie, on se souvient surtout des classiques. Y compris du Meurtre de Roger Ackroyd, thriller policier à la surprise finale plus qu’originale. Mais qu’en est-il vraiment de cette oeuvre magistrale? Agatha Christie contre Hercule Poirot: qui a tué Roger Ackroyd?, présenté au Festival international du film sur l’art (FIFA), s’attaque au monstre sacré de fort belle manière.
Jeudi soir dernier, à la Maison de la culture Maisonneuve, la compagnie musicale La Nef présentait Chants du Pays d’Oc. Sous la férule de Pierre-Alexandre St-Yves, c’est à un voyage de tous les temps que les quatre musiciens nous ont conviés.
En lisant le programme de la pièce de théâtre Le Lac aux deux falaises, où le metteur en scène Louis-Dominique Lavigne décrit une région lointaine où opère « une magie rugueuse comme le roc », je me suis instantanément imaginé une version acadienne des contes villageois de Fred Pellerin.
Les Power Rangers ont toujours été synonymes de créativité, de folies, de liberté et, surtout, d’aventures tordues, peu importe les limites de notre logique, ou du quelque peu de réalisme qu’il reste au genre fantastique ou à la science-fiction. Les choses ont bien changé, puisque cette nouvelle version de la populaire franchise, adaptée visiblement pour les jeunes adultes d’aujourd’hui, est tellement formatée et torturée qu’on se demande longtemps où diable est passé le plaisir d’antan.
Adapté d’un roman graphique par l’auteur lui-même, Wilson aurait dû être amusant, éclaté et réfléchi, ce qu’il n’est que bien peu, malgré le bon vouloir de toute l’équipe autant devant que derrière la caméra.
Après avoir offert l’Œuvre pour cuivres de Gabriele aux mélomanes invités, le Maestro Kent Nagano et la direction de l’OSM ont dévoilé une programmation transcendante pour leur prochaine saison lors d’une conférence de presse à la Maison symphonique de Montréal mercredi dernier.