Hugo et Kevin naviguent à travers ce drame sur la rédemption et le poids du passé.
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Avant même de terminer notre lecture, on fermera donc les pages de cette Alerte, un roman tristement incomplet s’articulant autour d’une idée bancale. C’est bien dommage!
Film franchement intéressant, film particulièrement éclairant sur les problèmes contemporains qui affectent les villes d’ici et d’ailleurs, The Power of Utopia – Living with Le Corbusier in Chandigarh est un élément essentiel de la réflexion sur l’avenir des cités, à l’aune de la surpopulation et face aux impacts de la crise climatique.
Oeuvre drôle, certes, mais aussi – et surtout – oeuvre qui fait réfléchir, avec ses nombreux niveaux d’interprétation et ces personnages se situant très, très loin de l’unidimensionnalité, American Fiction ose mettre le doigt sur le proverbial bobo, à une époque où les questions raciales sont trop souvent excessivement politisées et risquées.
À la fois bienveillante et très souvent furieusement érotique, la littérature de Jouissive est un rappel qu’une sexualité saine, libérée et respectueuse est tout à fait possible, y compris entre les pages d’un livre. Et c’est sans doute cela, la véritable transgression de l’ouvrage.
Si toutes les prestations musicales valaient la peine d’être entendues, certaines sortaient du lot. D’entrée de jeu, les pianistes Godin et McMahon ont réjoui nos oreilles par leur interprétation joyeuse et céleste de l’Introduction, variations et finale, pour piano à quatre mains, D 968a, de Franz Schubert.
Malgré ses quelques défauts, Tokyo Vice demeure une très bonne série télé mêlant les impératifs du journalisme, du travail de policier et du monde interlope japonais. Un produit qui s’éloigne de l’oeuvre originale, certes, mais dont le traitement est largement à la hauteur des attentes.
Si Larry Tremblay souhaitait explorer les thèmes de la vieillesse, de la perte de mémoire, de l’approche de la mort ou toute autre question qu’il est normal de se poser au crépuscule de sa vie, la tentative est ratée.
Quatre acteurs sur scène; des décors très réussis qui se métamorphosent sans arrêt… la pièce de plus de deux heures présente le cas d’Anna, dont on se demande si le destin aurait pu être différent.
X-Men’97 n’a pas la prétention de changer le monde. Tant mieux si le public en retire le message qu’il est important d’accepter les personnes qui sont différentes de soi. Mais il est aussi tout à fait possible de simplement profiter d’un produit télévisuel de qualité, à l’action frénétique, qui fait le pari de ramener l’une des grandes franchises d’animation de l’Âge d’or du genre.