Si les comédies québécoises et les suites ont la cote, on mise toutefois sur l’originalité pour terminer l’une des années cinématographiques les plus lucratives depuis belle lurette. Reste à voir si les valeurs sûres sur lesquelles on mise sauront rallier le public pendant cette période où l’on aime tant se rassembler et… se cajoler.
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Qu’on le veuille ou non, alors qu’on croyait l’avoir oublié, Antonio Banderas est en train de se recycler peu à peu en un genre de Jason Statham des séries B et a indubitablement du plaisir à jouer dans des productions inconnues dont personne n’a entendu parler.
Un peu à la manière de Tarantino, disons que le nom de Guillermo Del Toro possède une très grande influence en ce qui a trait au cinéma de genre. Le voilà de retour avec une œuvre qui risque de rendre sceptiques ses fidèles, mais jeter au plancher tous ceux qui jusqu’alors doutaient de lui. Il n’y a pas de doute, The Shape of Water est là pour plaire, coûte que coûte.
On the surface, Guillermo del Toro’s movies all have a similar feel, his trademarks are monsters, machines, and bucketlaods of slime. His fascination for the weird and supernatural is ever-present in all of his works. Deeper down, for the most part, his movies are far kinder.
Avant de raconter des histoires, le cinéma est avant tout un art qui s’adresse à l’œil. Avec le documentaire Labrecque, une caméra pour la mémoire (2017) qui sortira en salles le 12 janvier, le directeur de la photographie et réalisateur québécois Michel La Veaux (Le Démantèlement (2013), Le Vendeur (2011), Ce qu’il faut pour vivre (2008)) rend hommage au cameraman québécois qui a aiguisé l’acuité visuelle de notre cinéma.
Avec une offrande par année depuis des décennies, on le sait depuis longtemps qu’avec Woody Allen, il faut en prendre et en laisser. Toutefois, il est habituellement confortable de le retrouver alors qu’il expose ses très nombreuses névroses à l’écran, qu’il se mette en vedette ou utilise un avatar pour se personnifier.
Un pays où l’espoir n’est plus. Où la liberté n’est plus. Ce pays, c’est celui de la République de l’abîme, un roman Louenas Hassani paru aux éditions L’Interligne.
Nouvelle tradition du temps des fêtes et machine à sous incontestable de Disney, nous revoici avec un nouvel épisode de Star Wars qui est prêt à tout pour satisfaire les innombrables fans de la série.
Fuyant la guerre, les migrants ne savent jamais exactement à quel type de société ils vont devoir s’acclimater. Avec L’autre côté de l’espoir (2017), le grand cinéaste finnois Aki Kaurismäki accueille un réfugié irakien à l’aide de son langage cinématographique singulier.
James Franco a un petit côté masochiste. Et nous aussi, probablement. Car pourquoi aller voir The Disaster Artist, si ce n’est pour revivre, à moitié mal à l’aise, à moitié morts de rire, la fantastique catastrophe ambulante qu’est The Room, le meilleur pire film de tous les temps?