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Voilà un an que le conjoint de Lena, ancienne militaire devenue professeure de biologie, est disparu en service commandé. Son retour inattendu provoquera une série d’événements qui permettront de lever le voile sur un étrange mystère qui pourrait entraîner l’Annihilation de l’espèce humaine.

Si certaines bandes dessinées sont sages comme des images, ce n’est certainement pas le cas de Bloody Mary, un roman graphique décapant sorti tout droit de la France des années 1980.

La dernière création de la compagnie ISOCHRONE se joue en ce moment, au Théâtre La Chapelle. La turbulente déroute de la mémoire qu’illustre Temps Universel +1 met en scène une interprète seule… Seule avec ses doubles et ses échos, en rencontre constante avec l’éclat des souvenirs qu’elle reconstruit devant nous.

Dans une salle de concert située quelque part dans un quartier central de Montréal, les destins de quatre individus vont s’entrecroiser le temps d’un spectacle haut en couleur, dans la fort intéressante bande dessinée De concert, rédigée et illustrée à quatre mains, et éditée chez La mauvaise tête.

Le nouveau disque du trio montréalais Velvet Noise, Vertigo, est bon. Le mot ne dit rien; il dit tout. Lancé il y a un peu plus d’une semaine, ce disque court – doit-on dire long jeu, comme à l’âge d’or des vinyles? Doit-on plutôt parler de disque, tout simplement? – évoque la beauté, la douceur, mais aussi une certaine mélancolie.

Ce n’est pas la première fois que l’orchestre baroque Arion se permet une incursion dans un répertoire qui est postérieur à l’époque baroque. Pour le dernier programme de sa série montréalaise 2017-2018, Arion s’est permis de piger dans le répertoire de W.A. Mozart et dans celui de Joseph Haydn.

Le Nouveau théâtre expérimental (NTE) poursuit sa métamorphose dramaturgique par la présentation de la pièce de théâtre de science-fiction Alpha et Oméga du 24 avril au 19 mai à la station Espace libre. Le duo Alexis Martin et Daniel Brière ont recruté le Zapartiste au regard de feu, Christian Vanasse pour mener à bien l’entreprise et sollicité le public via un processus interactif avant et pendant la pièce.

Lamelles, une oeuvre présentée à l’Usine C, est sensible, sensuelle, beaucoup plus que ce que la réflexion du metteur en scène sur sa création ne pourrait d’abord le laisser croire. Car, si ce sont des écrits théoriques et le désir de confronter le corps des performeurs à un dispositif potentiellement restreignant qui forment la genèse du projet, le résultat est tel qu’on est entièrement et physiquement absorbés par le mince espace de vie dont les possibles se déploient sous nos yeux.