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Martin a perdu Yan, son mari. Malheureux, seul au monde, il envisage le suicide avant que l’un de ses amis ne lui propose un marché quelque peu étrange: épouser Tamara, la jeune femme noire dont l’ami en question est amoureux en échange de paiements lui permettant de subvenir à ses besoins. Voilà le scénario de Troisièmes noces, une comédie douce-amère de David Lambert.

Le milieu québécois du cinéma a encaissé un léger recul des entrées en salles, a révélé mercredi l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) dans une note d’information publiée en ligne.

Une femme qui disparaît, un mari qui pourrait être responsable d’un kidnapping, ou pire encore, d’un meurtre, et un réalisateur en très grande forme. Gone Girl, du cinéaste David Fincher, suscite de nombreux questionnements lors de cet épisode 8 de la série Rembobinage.

Dans L’homme de Hus, présenté au théâtre La Chapelle en collaboration avec la TOHU, l’extraordinaire artiste qu’est Camille Boitel éprouve des problèmes très matériels avec les lourds tréteaux d’une table impossible à installer, et ceci n’est que le commencement d’un spectacle entièrement désopilant.

Plus accessible, plus près d’un genre et plus éclaté et ambitieux que la majorité de ses films précédents, ce qui n’est pas peu dire quand on défriche sa filmographie, Denis Côté propose avec Répertoire des villes disparues, un film tellement disparate qu’on ne sait plus vraiment à qui son film s’adresse véritablement, ou s’il s’adresse nécessairement à quelqu’un.

Le tout nouvel album de Mélisande McNabney, claveciniste, est paru chez ATMA Classique sous le numéro ACD2 2780 et s’appelle Inspirations. Il est le résultat d’un travail de recherche intéressant qui met en valeur des compositeurs moins connus comme Jean Henry D’Anglebert et Antoine Forqueray aux côtés du grand Jean-Philippe Rameau.

Il y a films de zombies et films de zombies. Et si le genre a été saturé par quantité d’oeuvres proposant des variations plus ou moins intéressantes du thème central, ces dernières années, Overlord, mélange d’horreur et de film de guerre, prouve que s’en tenir aux ingrédients de base peut permettre de créer une oeuvre franchement intéressante.

L’histoire d’amour du conte de Cendrillon conserve toujours un pouvoir d’émerveillement, sans doute accentué lorsqu’elle est représentée dans un ballet classique auquel participent trois troupes de tous jeunes danseurs et danseuses revêtus de beaux costumes très soignés. C’est ce que produit la compagnie Ballet Ouest de Montréal en proposant un spectacle intitulé Ella qui reprend l’histoire de Cendrillon sur la superbe musique aux accents tragiques de Serge Prokofiev.

Misant sur les talents de vulgarisateur du célèbre astrophysicien montréalais, la collection Hubert Reeves nous explique utilise la bande dessinée pour rendre des sujets complexes plus faciles d’approche, et après avoir démystifié la biodiversité, le second tome explore maintenant la forêt.