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Si l’on peut raisonnablement espérer un vaccin contre la COVID-19 dans les prochains mois, rien ne garantit que la société, elle, se relèvera rapidement des impacts titanesques provoqués par ce nouveau coronavirus. Dans un récent rapport, le magazine spécialisé The Economist trace un portrait sombre, mais néanmoins optimiste, de la reprise économique à venir.

De moteur de croissance à création maintenue en vie au prix de très importants efforts: la pandémie de COVID-19 aura réussi, en quelques mois à peine, à complètement chambouler la perception des économies nationales de 14 pays répartis un peu partout dans le monde, révèle une récente enquête du Pew Research Center. Ainsi, seuls 31% des adultes sondés estiment que la situation économique est bonne, actuellement, contre 68% qui pensent le contraire.

Les villes contemporaines, de Denver à Dubaï, pourraient apprendre une chose ou deux de la part des communautés Pueblo qui émaillaient autrefois le sud-ouest des États-Unis. Y compris le fait que plus les gens sont nombreux en un seul endroit, meilleures sont les conditions de vie.

C’est un bruit reconnaissable entre mille. Il s’élève ces jours-ci dans différentes régions de l’Est des États-Unis et symbolise la période de reproduction des cigales. Incluant des espèces dont on dit que l’émergence n’est censée se produire que tous les 13 ou 17 ans. Ce qui, pourtant, ne serait pas si clair.

La pandémie de coronavirus et le confinement qui l’accompagne font mal, très mal à l’économie canadienne, ainsi qu’à celle de la métropole québécoise. Dans une note d’information publiée plus tôt cette semaine par le Conference Board, il est ainsi mentionné que jusqu’au quart de l’économie nationale pourrait disparaître des suites de la COVID-19.

La pandémie de COVID-19 provoque déjà un rebrassage des cartes géopolitiques, et accentuera la rivalité entre les grandes puissances, en plus d’accélérer le « transfert » de l’influence occidentale vers l’Orient. Voilà le constat des experts mandatés par le magazine The Economist, dans une analyse publiée cette semaine.

Un recul plus important que lors de la crise financière de 2008: selon un nouveau rapport du magazine spécialisé The Economist, les impacts de la pandémie de coronavirus sur l’économie mondiale vont faire mal, très mal. Y compris au Canada, dont l’économie devrait se contracter d’environ 5% au deuxième trimestre de 2020.

Une économie menacée de toutes parts par la dure réalité géopolitique, voire même sanitaire, de l’année 2020: voilà le constat peu reluisant que présente le magazine The Economist dans son plus récent rapport sur l’état de l’économie mondiale. Selon la publication spécialisée, cinq menaces principales pèsent ainsi actuellement sur les structures et acteurs économiques. Et la plupart d’entre elles dépendent du bon vouloir d’un certain locataire de la Maison-Blanche.

Les océans de la planète accomplissent depuis longtemps une bonne partie du travail de séquestration du dioxyde de carbone présent dans l’atmosphère. Des micro-organismes appelés phytoplancton, qui utilisent la lumière du soleil pour croître et absorbent le dioxyde de carbone lors de la photosynthèse, sont partie intégrante de ce processus. Des scientifiques ont d’ailleurs suggéré de semer de la limaille de fer dans les océans pour maximiser cette séquestration. Une nouvelle étude du MIT suggère toutefois que cela pourrait ne pas influencer la croissance des micro-organismes, du moins à l’échelle mondiale.

Combien de doigts — ou d’orteils — le cheval a-t-il au bout de chaque patte? Les amateurs se souviennent de la bonne réponse, qui est « un seul »: son sabot. Pourtant, des biologistes viennent d’affirmer que le cheval a lui aussi cinq doigts… pendant une très brève période de temps.