Reptile est donc un drame qui tient bien la route pendant les deux tiers de l’oeuvre, avant de s’essouffler et de se terminer sur un pétard mouillé. Dans le contexte, qualifier le tout de « David Fincher léger » semble approprié. N’est pas Seven qui veut, après tout.
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Proposant la même action survoltée qu’un film d’action des années 1980, Crime Boss: City Rockay est un titre ne ressemblant à rien d’autre. Si son expérience de tir à la première personne est adéquate, sans plus; c’est surtout à travers ses mécaniques de gestion d’un empire criminel que le jeu brille.
Pascal Plante peut se féliciter d’avoir produit un film très solide, qui détonne largement de l’offre québécoise en matière de septième art. Après tout, les films d’horreur et les thrillers psychologiques sont généralement combinés à la vidéo sur demande, à l’offre en ligne, ou encore au circuit des festivals. Souhaitons que Les Chambres rouges profitent de leur notoriété nouvellement acquise.
« La croissance sans limites du crime organisé ne fait pas qu’entraîner une augmentation des activités illégales et saper la sécurité publique, cela menace le fondement même de nos démocraties. »
Les électeurs âgés de 60 à 69 ans étaient plus favorables au candidat accusé que les participants de 18 à 30 ans; il s’agit d’une bonne nouvelle pour les politiciens impliqués dans des scandales, puisqu’il est connu que les électeurs plus âgés votent davantage.
Crépuscule pour un tueur, s’il est un film techniquement très bien réussi, avec du bon jeu et une brochette d’acteurs qui n’ont rien de particulier à se reprocher, n’en reste pas moins simplement une oeuvre cinématographique.
Dans une communauté particulièrement fermée, les femmes doivent prendre une décision : doivent-elles rester ou partir, après la mise au jour d’un système où des hommes les droguent avant de les violer?
En moyenne, les individus avaient plus de 50 % de chances de voter pour les candidats qui commettent des crimes, comme le fait d’importer illégalement des drogues aux États-Unis, pour ensuite en faire le trafic.
Le tiers des victimes n’a pas parlé de ses expériences à qui que ce soit, et une forte majorité n’a jamais contacté la police, cherché à obtenir des conseils juridiques ou encore contacté un organisme de protection lié au domaine du numérique.
Ultimement, donc, cette première saison de Tokyo Vice est bonne, mais on suit le déroulement de l’intrigue sans très grand enthousiasme. Comme s’il manquait quelque chose… Peut-être est-ce simplement ce journaliste qui s’ennuie de parler de journalisme?