D’autres experts de l’atmosphère ont émis l’hypothèse — ce qui a été confirmé dans une recherche parue en mars dernier — que la couche d’ozone était suffisamment sensible pour que la fréquence accrue d’incendies puisse ralentir ce retour à la normale.
Navigation : couche d’ozone
Il faudra probablement encore plusieurs années pour que la couche d’ozone revienne à la « normale ».
La plupart des gens l’ont oublié, mais la guérison de la couche d’ozone se poursuit: le « trou » continue de se résorber au-dessus de l’Antarctique, et on commence à pouvoir en mesurer l’influence sur… la direction des vents.
Quelque part dans le monde, quelqu’un continue-t-il de vendre un gaz réfrigérant appelé CFC-11, un chlorofluorocarbone dont la production est censée avoir complètement cessé depuis au moins 10 ans? Le CFC-11, interdit en raison de son impact dévastateur sur la couche d’ozone, apparaît sur les instruments de mesure de l’atmosphère, dans une quantité supérieure à ce à quoi on s’attendrait d’un produit en voie de disparition.
Trente ans après la signature du Protocole de Montréal sur la protection de la couche d’ozone, l’impression générale est que le problème appartient au passé.