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Pour un prix de 260 $, les Pixel Buds Pro demeurent de très bons écouteurs sans fil qui servent aussi à accomplir les tâches habituelles – servir de récepteur lors des appels téléphoniques, utiliser l’assistant vocal, etc. Difficile d’en demander davantage sans exiger de miracle.

Quand sait-on que l’on a mis au point quelque chose de très près du téléphone parfait? Pas le téléphone idéal, avec une pile qui durerait une semaine, ou le plus rapide des processeurs. Mais plutôt un téléphone efficace, qui dure un certain temps, qui tient bien en main et qui permet d’accomplir l’ensemble des tâches quotidiennes associées à ce genre d’appareil. Et heureusement, le Pixel 4a, de Google, s’approche très près de cette « perfection ».

Quoi qu’en disent de très populaires théories complotistes, le déploiement de la 5G n’affaiblit pas le système immunitaire, un affaiblissement censé, selon ces théories, avoir favorisé l’éclosion de la COVID-19. 

Face à la pandémie, les organisations internationales souhaitent non seulement que les capacités médicales soient renforcées, mais réclament également une modernisation et une expansion des capacités numériques de la planète. Au menu, donc, un accroissement de l’accès au web et un élargissement de la bande passante.

Est-ce un envahisseur venu de loin? Non, c’est un routeur! Avec son apparence franchement particulière et sa multitude d’options de connectivité, le routeur Archer C5400X, de la compagnie tp-link, ne laisse certainement pas indifférent. Son prix non plus.

Encore aujourd’hui, le terme domotique évoque des processus complexes, une installation coûteuse et une utilisation trop souvent hasardeuse. Il y a bien les assistants personnels, comme le Home Mini de Google, mais dans l’ensemble, la domotique moderne semble encore réservée à l’élite. Fort heureusement, l’entreprise TP-Link propose plusieurs produits (relativement) faciles d’installation et d’utilisation.

Presque un Canadien sur trois (32 %) consulte régulièrement des applications sur la santé. Chez les 35 ans et moins, c’est même un sur deux (51 %). Ces chiffres contenus dans une récente étude québécoise soulignent avec force la popularité des objets connectés, mais passent sous silence la difficulté d’une certaine tranche de la population à s’approprier ces technologies — à l’instar des professionnels de la santé.