Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook, a annoncé mercredi aux parlementaires américains qu’il faisait lui-même parti des dizaines de millions d’utilisateurs du réseau social dont les données personnelles ont été détournées au profit de Cambridge Analytica.
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Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook, a dit mardi aux sénateurs américains que le réseau social s’efforçait de changer, à la suite du détournement des données de dizaines de millions d’utilisateurs, s’employant ainsi à préserver sa société de toute réglementation plus stricte à son égard.
Le FBI a exprimé mercredi 31 janvier ses « sérieuses préoccupations » concernant l’exactitude d’un mémo top secret émanant de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, contrôlée par les républicains, qui, selon des fuites, dénonce un biais anti-Donald Trump au sein du département de la justice (DoJ).
Les divisions traversant le Parti conservateur britannique sont apparues au grand jour vendredi, les alliés de Theresa May l’appelant à se maintenir tandis qu’un ex-dirigeant conservateur exhortait à renouveler la direction du parti.
Plusieurs dizaines de milliers de partisans du maintien au sein de l’Union européenne ont défilé dimanche à Manchester où s’est ouvert le congrès annuel du Parti conservateur britannique.
La Chine a nommé vendredi de nouveaux commandants au sein de ses armées, que le président Xi Jinping ambitionne de renouveler dans le cadre d’un vaste programme de modernisation.
L’ex-directeur du FBI James Comey a accusé jeudi le président Donald Trump de l’avoir limogé en vue de nuire à l’enquête sur une possible ingérence de la Russie dans la campagne présidentielle américaine de 2016.
Le département américain de la Justice a annoncé mercredi la nomination de l’ancien directeur du FBI Robert Mueller comme procureur spécial pour enquêter sur les soupçons de collusion entre la Russie et l’équipe de campagne de Donald Trump.
C’est la menace qu’a fait planer un élu républicain, et non le moindre, puisqu’il préside le Comité de la Chambre des représentants sur la science.
L’Iran a déclaré vendredi que la prorogation par le Sénat américain de certaines sanctions à son encontre enfreignait l’accord historique sur l’encadrement de son programme nucléaire conclu avec six grandes puissances en juillet 2015 et a menacé de riposter.