« Ce fut l’occasion de constater qu’il y avait un monde qui n’était pas rejoint par le jeu de société, et c’est quelque chose que nous, en tant qu’experts du monde industriel, n’en avions peut-être pas connaissance. »
Browsing: cognition
Une nouvelle étude de l’Université de Californie à Davis suggère que les parents devraient reporter l’introduction de leurs enfants à tout média présenté sur un écran, ainsi que limiter l’utilisation des appareils mobiles chez les enfants d’âge préscolaire, y compris les téléphones intelligents et les tablettes électroniques.
Une nouvelle étude de l’Université d’Adélaïde, en Australie, suggère que les grands singes vivant aujourd’hui sont plus intelligents que ne l’étaient les Australopithèques, un groupe de nos ancêtres pré-humains qui incluait la célèbre Lucy.
En une fraction de seconde, un bloc coloré en forme de « L » tombe du haut de l’écran de l’ordinateur. En moins de temps encore, des doigts survolent une manette ou des touches de clavier, afin de faire pivoter la forme géométrique pour qu’elle tombe à l’endroit prévu, pour former une ligne, et ce de plus en plus vite. Vieux de plusieurs décennie, le jeu Tetris – et ceux qui y jouent de façon compétitive – sont devenus une zone d’expérimentation pour des chercheurs en sciences cognitives du Rensselaer Polytechnic Institute qui veulent découvrir comment les humains apprennent et gagnent en expertise.
Une récente étude a révélé que l’utilisation des téléphones intelligents entraînait une réduction de la capacité à analyser et interpréter le sens des informations. Mais cet effet semble transitoire, selon la nouvelle étude, qui est parue dans Applied Cognitive Psychology.
Une durée de plus d’une heure et demie pour un film peut décourager plusieurs spectateurs. Le département de neurosciences de l’Université de Barcelone et celui de l’Université de Pablo de Olivade (UPO) à Séville, ainsi que la chaîne de télévision espagnole RTVE, ont développé une méthode pour raccourcir la durée du contenu visuel sans perdre l’essentiel, rapporte El Pais le 20 juin.
Il y a longtemps que les psychologues savent que notre mémoire est perpétuellement « retravaillée » : chaque fois que nous visualisons un souvenir ou que nous le racontons, nous courons le risque de le modifier dans notre tête. Serait-il possible que ce phénomène soit aujourd’hui amplifié par notre tendance à prendre de plus en plus de photos avec nos téléphones?