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Le cinéaste Robert Morin propose une expérience à la fois funeste et pleine de vie: le parcours d’un orignal tué à la chasse, et qui retournera peu à peu à la nature, en pleine forêt.

Sucré seize demeure donc une hypnotisante proposition loin des conventions (comme notre cinéma ose difficilement se le permettre, malheureusement), casse-gueule en totalité, mais nécessaire de par sa bienveillance et son intérêt marqué pour la beauté de la jeunesse.

Pour cet épisode du podcast, Hugo et Kevin explorent ce film présenté en première mondiale au TIFF, à Toronto.

Pascal Plante peut se féliciter d’avoir produit un film très solide, qui détonne largement de l’offre québécoise en matière de septième art. Après tout, les films d’horreur et les thrillers psychologiques sont généralement combinés à la vidéo sur demande, à l’offre en ligne, ou encore au circuit des festivals. Souhaitons que Les Chambres rouges profitent de leur notoriété nouvellement acquise.

Pourquoi voudrait-on s’enfermer loin de tout pendant des années? Pour une mission sur Mars? À l’occasion de la sortie de son nouveau film, Viking, le réalisateur Stéphane Lafleur répond aux questions de Hugo Prévost et Kevin Laforest.

Norbourg apparaît donc comme une transposition cinématographique efficace, un peu comme l’était Mafia Inc., sans atteindre le brio de L’affaire Dumont, tout en aspirant au lyrisme de Polytechnique.