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Un robot flexible, en forme de sangsue, et qui peut grimper le long de murs verticaux, a récemment été mis au point dans le cadre d’un projet de recherche collaboratif, et pourrait éventuellement transformer la façon dont les engins artificiels peuvent se déplacer.

Ce sont à présent plusieurs des grandes compagnies du monde, de la technologie jusqu’aux banques, qui admettent que les changements climatiques vont affecter négativement leurs affaires. Quoique quelques-unes, comme la pharmaceutique Eli Lilly, y voient une opportunité… avec l’augmentation des risques de maladies infectieuses.

Les inégalités entre pays ont diminué depuis le 19e siècle, grâce aux progrès de la médecine, des transports et des communications. Mais au cours des 50 dernières années, les changements climatiques semblent avoir freiné le mouvement.

Ceux pour qui le GIEC serait à la solde de gouvernements vendus à « l’idéologie » du réchauffement climatique vont avoir du mal à expliquer celle-là : après avoir commandé au GIEC un rapport sur les impacts qu’aurait un réchauffement d’un degré Celsius et demi, des pays membres ont refusé d’endosser le rapport.

Face aux inondations, grandes marées et autres événements extrêmes, les architectes devront adapter maisons, écoles et bâtiments publics aux changements climatiques. Travailler en amont pour éviter les mauvaises surprises en aval, c’est ce que recommande Catherine Dubois, la coordonnatrice de Schola, une plateforme québécoise d’expertise et de formation en architecture scolaire, mise en place à l’École d’architecture de l’Université Laval.

On commence à se faire une idée des factures qu’apporteront les futures inondations causées par les changements climatiques, et elles seront salées: rien qu’en Europe, cela pourrait se traduire par au moins 0,4% du PNB dans moins d’un siècle, ou 80 fois plus qu’aujourd’hui.

Ces dernières années, les modèles pour prédire l’évolution future du climat se sont multipliés. Lesquels sont les plus fiables? Peut-être ceux qui prédisent le pire, viennent de conclure deux experts en cycles environnementaux de l’Université Stanford. S’ils ont raison, cela impliquerait un réchauffement de 10 à 20% plus élevé que ce qui est traditionnellement annoncé.