« L’itinérance est un tel problème en Amérique du Nord, en ce moment. Cela est extrêmement coûteux en termes de PIB, mais aussi en termes de vies humaines, et les approches actuelles pour lutter contre l’itinérance ne fonctionnent pas. »
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Hugo et Kevin examinent ce film jouant tout en finesse avec les codes du genre dans un nouvel épisode du podcast.
« Parmi les divers groupes d’âge, ce sont les jeunes Canadiens âgés de 15 à 24 ans (11 %) qui ont affiché la plus forte proportion de personnes s’étant senties victimisées à la suite d’un incident en ligne. »
« Alors que la planète se réchauffe, on s’attend à ce que nous assistions à des précipitations de plus en plus intenses, plus fréquentes et plus graves, entraînant également des inondations plus graves. »
« L’idée est d’identifier les plus sensibles et vulnérables à ces hausses de chaleur dans les milieux résidentiels, pour faciliter les interventions de la santé publique et des urbanistes. »
On fait d’abord le point sur les tenants et aboutissants de ce projet de loi, on parle de l’impact sur un petit média qui trouve ses lecteurs via Facebook, et on discute avec une trentenaire qui s’informe surtout sur les médias sociaux.
Si les résultats démontrent que les emprunteurs aux fortes émissions de GES et les banques sont les plus à risque, leur disparition pourrait grandement affecter le reste de l’économie et mettre à mal l’abordabilité au pays, puisque les compagnies tendent à transférer l’augmentation des coûts aux consommateurs, ce qui ferait croître les prix et saperait encore plus les finances des Canadiens.
Il est temps que cessent ces hommages à un mode d’exploitation uniquement basé sur l’appât du gain. Blackberry n’est certainement pas le pire exemple du lot, mais une fois le générique qui défile à l’écran, on se demande bien pourquoi on s’obstine à nous raconter l’histoire de… produits de consommation.
Que les répondants soient enthousiastes ou non, la quasi totalité (80 %) d’entre eux ont des inquiétudes à propos de la protection de la vie privée, ou encore en lien avec des considérations éthiques ou les questions de propriété intellectuelle.
La difficulté se trouve notamment du côté de l’accès à l’information, semble-t-il : ainsi, si 79 % des femmes interrogées disent connaître l’existence d’au moins une méthode d’avortement, à peine 52 % d’entre elles sont au fait qu’elles ont accès à la fois à la méthode médicamenteuse et à la méthode chirurgicale.