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Il y a combats aériens, et il y a combats aériens mettant en scène des dizaines d’appareils ennemis, des chars et des lance-missiles au sol, le tout se déroulant dans une vallée encaissée, par jour de tempête. Après avoir allumé à fond la manette des gaz et donné une nouvelle chance à Ace Combat 7: Skies Unknown, force est d’admettre que le titre est plus solide qu’estimé au départ.

L’alerte au missile hurle, l’avion plonge entre deux falaises et fait lui-même feu, pulvérisant un ennemi alors que la foudre s’abat à quelques mètres à peine de l’appareil. Bienvenue dans Ace Combat 7: Skies Unknown, qui laisse le réalisme de côté pour plutôt s’adonner avec une joie indicible aux combats aériens dignes d’un film des années 1980.

Dans la catégorie des affaires qui viennent nuire à l’existence, nous pouvons mentionner dans le désordre: les autocollants sur les tomates bien mûres, ramasser des dix sous sur une table lisse quand t’as pas d’ongle, le morceau archinécessaire d’un meuble que tu es en train de monter qui trouve le moyen de rouler directement en dessous de la bibliothèque de 300 livres qui te prendras deux heures à bouger, et te faire dire que le rendez-vous avec le technicien sera entre 8h00 et 17h00.

« Le jeu de course le plus beau, le plus réaliste et le plus avancé de la planète. » Rien de moins! Force est d’admettre que les développeurs de chez Slightly Mad Studios sont ambitieux. Et si le résultat de leurs efforts, le jeu de course Project Cars 2, récemment lancé sur PC et consoles sous l’étiquette Bandai Namco, est effectivement magnifique et particulièrement prenant, il est aussi franchement exigeant. 

Pac-Man est l’un de ces jeux iconiques qui semblent exister à l’extérieur de l’écoulement normal du temps. Bien sûr le titre a vieilli, mais comme Pong avant lui, ce classique du divertissement numérique demeure toujours actuel, une trentaine d’années après sa sortie. Mais même dans ce contexte, Pac-Man Championship Edition 2 réussit à revisiter très efficacement la franchise, pour le plus grand bonheur des joueurs.

Dans un sombre et étrange labyrinthe maléfique, nos héros s’aventurent toujours profondément dans les entrailles de la terre. Soudain, un cri déchire le silence: un ennemi se précipite sur nos guerriers, l’arme à la main. Facilement terrassé, il a pourtant attiré une horde d’adversaires plus coriaces, qui donneront du fil à retordre à nos preux chevaliers.

« Préparez-vous à mourir ». Le slogan, accolé au premier volet de la série de jeux Dark Souls, s’est depuis imposé comme mantra de la saga de From Software publiée par Bandai Namco. Alors que Dark Souls, troisième du nom, débarque sur consoles et sur PC, force est d’admettre que les développeurs flirtent toujours autant avec le concept de difficulté extrême, sans nuire volontairement au joueur.