1995 fait le travail. Et avec de petits détails non négligeables ici et là, même sous-développés, le film parvient à justifier une certaine pertinence. Combien de temps suivrons-nous Trogi dans ses aventures? Dur à dire, mais pour l’instant, on s’accroche avec lui et on se surprend à s’intéresser à comprendre pourquoi il est devenu qui il est devenu.
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Doom Guy : Life In First Person est le récit de l’une des personnes ayant probablement le plus transformé le monde des jeux vidéo, mais aussi l’histoire d’une jeune équipe qui a tout changé, à plusieurs reprises, avant de s’essouffler. Un livre bien écrit, largement complet, qui intéressera les amateurs comme les mordus de l’industrie.
Pris entre le désir de plaire, d’honorer, de raconter, The Fabelmans se perd un peu en cours de route, surtout face à cette durée de deux heures trente, et bien qu’on s’y plaît beaucoup plus souvent qu’autrement, on n’y trouve pas non plus le coup au cœur qu’on attendait.
Pour chaque grande période de sa vie, on aurait pratiquement pu tirer un livre entier; pourquoi, alors, a-t-on droit à une suite d’événements racontés sans âme, sans passion, et en nommant quantité de gens au passage?
André Major, un homme avec qui l’on aimerait bien se retrouver un certain midi, « à la table d’à côté ».