Pris entre le désir de plaire, d’honorer, de raconter, The Fabelmans se perd un peu en cours de route, surtout face à cette durée de deux heures trente, et bien qu’on s’y plaît beaucoup plus souvent qu’autrement, on n’y trouve pas non plus le coup au cœur qu’on attendait.
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Pour chaque grande période de sa vie, on aurait pratiquement pu tirer un livre entier; pourquoi, alors, a-t-on droit à une suite d’événements racontés sans âme, sans passion, et en nommant quantité de gens au passage?
André Major, un homme avec qui l’on aimerait bien se retrouver un certain midi, « à la table d’à côté ».