« Pour combattre efficacement la radicalisation, d’autres enjeux essentiels, comme l’itinérance, l’insécurité alimentaire, l’accès à l’eau et la crise énergétique, ainsi que la nécessité d’améliorer l’équité au sein de la société, doivent aussi attirer l’attention. »
« Plutôt que de se concentrer sur les mouvements, comme le nationalisme blanc, qui ont des sympathisants à plusieurs niveaux du gouvernement, des shérifs aux sénateurs, les autorités visent des individus. »
L’étude a aussi indiqué que plus du tiers des individus condamnés pour des crimes extrémistes souffraient d’une forme de maladie mentale, ce qui souligne l’importance d’un appui accru pour ce type de criminels.
Déjà, en 2001, les conspirations allaient bon train, même avant l’arrivée des réseaux sociaux.
Prévoir et gérer les crises alimentaires est plus complexe qu’il n’y paraît, affirment les chercheurs.
C’est une étude qui n’a de toute évidence pas eu assez d’attention aux États-Unis lors de sa parution en août: les deux tiers des attaques terroristes commises dans ce pays en 2017 furent perpétrées par des extrémistes de droite.
Le réseau social Twitter prend les grands moyens pour lutter contre la multiplication des comptes liés de près ou de loin à des activités terroristes.
