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Les scientifiques qui ont récemment confirmé que des humains ont mis le pied en Amérique au moins 1000 ans plus tôt qu’on ne le pensait, y sont arrivés par une méthode plus rare que les ossements: leurs excréments.

Les villes contemporaines, de Denver à Dubaï, pourraient apprendre une chose ou deux de la part des communautés Pueblo qui émaillaient autrefois le sud-ouest des États-Unis. Y compris le fait que plus les gens sont nombreux en un seul endroit, meilleures sont les conditions de vie.

La collection de plus de 25 000 fragments d’anciens manuscrits connus sous le nom de manuscrits de la Mer morte comprennent, entre autres textes, les plus vieilles copies de la Torah, le livre saint juif. Mais trouver une méthode pour les réunir afin de comprendre leur signification demeure un casse-tête extrêmement difficile, particulièrement en raison du fait que la plupart des pièces n’ont pas été récupérées de façon ordonnées. Des chercheurs indiquaient cependant récemment, dans des travaux publiés dans Cell, avoir utilisé un outil intrigant pour aider à poursuivre cette démarche: des « empreintes » génétiques provenant des peaux d’animaux sur lesquelles ont été écrits les textes.

Les archéologues ont des alliés à quatre pattes: des recherches récentes mettent en lumière le pouvoir du nez canin pour assister ces scientifiques à la recherche de vieilles sépultures, raconte The New YorkTimes.

Trois groupes de pré-humains, habituellement sans liens entre eux, mais dont il s’avère qu’ils ont partagé une région du monde à peu près à la même époque, il y a deux millions d’années. C’est ce qu’a révélé une carrière d’Afrique du Sud, et qui ouvre une autre fenêtre sur notre passé.

La caverne de Sibérie qui avait révélé en 2010 l’existence d’un nouveau groupe de cousins préhistoriques, les Dénisoviens, s’est enrichie: depuis, elle a révélé des restes de dizaines de milliers d’objets, étalés sur 150 000 ans.

La réalité virtuelle vient au secours des paléontologues qui commencent à se sentir un peu mêlés avec tous ces crânes d’humains ou de pré-humains qu’on ne sait trop où placer dans notre arbre généalogique. Le résultat est l’image d’un crâne qui pourrait être ce à quoi ressemblait l’ancêtre commun à tous les Homo sapiens, il y a 300 000 ans.

Découverts en 1947 par des bergers bédouins qui cherchaient une chèvre égarée, les textes hébreux anciens appelés manuscrits de la mer Morte comptent parmi les textes antiques les mieux conservés jamais trouvés. Désormais, une étude effectuée par des chercheurs du MIT et d’autres institutions permet de faire la lumière sur une technologie ancestrale de fabrication de parchemin et pourrait permettre de mettre au point de nouvelles méthodes pour préserver ces documents d’une importance historique sans précédent.