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Il y a 252 millions d’années, avait lieu l’une des plus grandes extinctions de masse de l’histoire de notre planète. Étrangement, elle pourrait avoir été précédée d’une… stérilisation de masse.

L’idée avait forcément du bon: dans la foulée de la multiplication des jeux d’exploration dits « ouverts », les dirigeants de l’éditeur de jeux vidéo Warner Bros. ont profité de la sortie de l’excellent Mad Max: Fury Road pour lancer leur propre titre permettant l’exploration d’un monde post-apocalyptique dans la peau du célèbre personnage.

Quatre ans de travail, quatre années de recherche et de rédaction pour achever son plus récent roman: voici ce qu’a investi Deon Meyer dans L’année du lion, paru chez Seuil.

The Bad Batch was a hard movie to find. It has a popular cast and an even more popular concept; I would expect it to be advertised more than it currently is. It stars such powerhouses as Keanu Reeves, Jim Carey and Jason Momoa. Add an upcoming female lead (played by Suki Waterhouse) and throw them in a post-apocalyptic environment with a cannibalistic cult and you should have a hit. This movie just screams blockbuster. Instead, it sort of just appeared. Unfortunately, this movie won’t be in theatres for long. It is popular enough to get a handful of people to come out to the opening night at midnight on Friday during a national holiday. 

Dans un bunker caché quelque part sous une montagne, un commandant a le regard fixé sur une carte du monde où clignotent des symboles colorés. Soudain, la pièce tremble: une bombe vient de tomber non loin de là, détruisant l’aéroport militaire voisin.

L’univers créé par Robert Kirkman et Tony Moore en bande dessinée continue d’alimenter les récits de fiction au petit écran avec The Walking Dead, mais aussi des adaptations de jeux vidéos offrant des histoires nouvelles et dynamiques d’autant plus divertissantes. Entre en arène The Walking Dead: A New Frontier le quatrième d’une série de jeux épisodiques créés par Telltale Games, et cette nouvelle entrée risque de surprendre comme d’autres avant elle.

Bien conscient que « les troisièmes films sont souvent les pires », Bryan Singer ne prend aucune chance et se permet de piger dans tout (ou presque) de ce qui a le mieux fonctionné précédemment pour en doser le tir. Dommage toutefois que la cohésion n’égale pas la longueur de ce long-métrage qui fait grincer des dents plutôt que d’emplir excitation lors de ses 144 minutes plus ou moins mouvementées.

L’univers post-apocalyptique est à la fois sous et sur-exploité, et à plus forte raison lorsqu’il est question de survie après une guerre nucléaire, que ce soit au cinéma ou dans des livres. Dans Silo, toutefois, l’auteur Hugh Howey évite la plupart des écueils traditionnels du style pour produire un roman prenant et captivant.