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Rien ne semble arrêter l’auteur Charles-Étienne Ferland dans la création de sa saga post-apocalyptique. Après la parution de Dévorés, en 2018, où l’humanité était quasiment anéantie par des guêpes géantes dévorant tout sur leur passage, voilà qu’il propose la suite, Métamorphoses, toujours aux Éditions l’Interligne.

Troisième et dernier tome de la série post-apocalyptique Silo, Générations, de l’auteur Hugh Howey, est à la fois une conclusion satisfaisante et une fin franchement frustrante à une trilogie douce-amère qui réussit à susciter l’espoir de voir éclore un monde meilleur, tout en montrant le visage le plus terrifiant de l’humanité.

Il y a eu le film, bien sûr, l’excellent Snowpiercer, lancé en 2013 sur les écrans et réalisé de main de maître par l’oscarisé Bong Joon-ho. Mais ce film, justement, s’appuie sur Le Transperceneige, une bande dessinée remontant aux années 1980 et créée par Jacques Lob et Jean-Marc Rochette, avec le concours ultérieur de Benjamin Legrand.

Il y a eu Silo, cet étonnant excellent coup littéraire de Hugh Howey, paru en 2012, qui réinventait certains des codes les plus surannés de la littérature post-apocalyptique, pour plutôt présenter une vision claire et originale de la vie après la fin du monde. Il y a maintenant Silo: origines, un regard plus terre à terre et, disons-le, déprimant, sur la volonté, chez certains, de triompher sur l’humanité elle-même.

Vous voulez entendre parler de chute de la civilisation, mais tout ce qui parle de virus vous ennuie, en pleine quarantaine provoquée par le coronavirus? Tournez-vous alors vers Snowpiercer, un film sorti en 2013 et qui est aujourd’hui au menu de l’émission Rembobinage.

C’est reparti pour un tour: trois ans après le premier volet, The Division 2 débarquait sur Xbox One, PlayStation 4 et PC. Après New York, c’est au tour de Washington D.C., la capitale américaine, de faire l’objet d’une lente reconquête par les agents de cette section spéciale du gouvernement chargée de restaurer une partie de ce qui s’appelait les États-Unis. Et comme la première déclinaison, le titre se veut ambitieux, mais déçoit, en bout de ligne.

Il y a 66 millions d’années, une météorite s’est écrasée sur la Terre, lançant une cascade d’événements qui allait mettre prématurément fin à la carrière des dinosaures. Mais que s’est-il passé au lendemain de la collision? Dans l’heure qui a suivi?

Aurez-vous assez de 60 secondes pour garantir la survie de votre équipage? Après la parution, justement, du précédent titre 60 Seconds!, voilà que les développeurs du studio Robot Gentleman adaptent leur concept: finie la survie dans un bunker souterrain, place à la survie dans l’espace!

C’est l’apocalypse: la planète a complètement gelé, détruisant la civilisation telle que nous la connaissons. Dans le nord du Royaume-Uni, quelques survivants tenteront de survivre tant bien que mal. Avec Frostpunk, il n’y a pas de bonne décision; simplement des façons plus ou moins douloureuses de retarder l’inévitable.