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Une seule santé s’inscrit déjà à l’ordre du jour d’instances comme le G7, le G20, le Sommet mondial sur la santé et le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires.

En filigrane, c’est la biologie humaine, bien plus que la biologie des primates, qui intéresse ceux qui vont plonger dans ces génomes, incluant l’étude de nos maladies causées ou aggravées par des mutations encore mal connues.

S’il s’agit bel et bien d’un comportement « transmis » — en d’autres termes, d’un épaulard qui en imite un autre— les hypothèses vont d’un premier épaulard qui, en 2020, aurait été pris dans un filet de pêche et aurait cherché à s’en libérer en attaquant le bateau, à un premier jeune épaulard…  qui aurait voulu jouer.

Pour l’instant, c’est avant tout la technique qui intéresse les paléontologues: elle ouvre la porte à la possibilité d’identifier de l’ADN humain dans beaucoup d’autres objets, dont des outils de pierre, et peut-être même d’associer des traits culturels.

Des tests avec des ruches qui sont perturbées lorsque l’éléphant franchit une clôture ont donné des résultats encourageants.

Avec des caméras capables de prendre 30 images à la seconde, l’intelligence artificielle a pu identifier une myriade de comportements « brefs » (moins d’une demi-seconde chacun) chez 16 mâles et 26 femelles dans un espace clos, 20 minutes par jour pendant 15 jours.

D’après de nouveaux travaux de recherche, les trois espèces de mammifères à protéger en priorité seraient donc l’Aye-aye de Madagascar, l’opossum nain des montagnes d’Australie, et le phalanger de Leadbeater, un autre opossum d’Australie.