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Les humains pourraient devoir leur place comme espèce dominante de la planète à leur capacité à partager et à coopérer les uns avec les autres, selon une nouvelle étude publiée dans le Journal of Anthropological Research.

« L’aigle a soudain envoyé des centaines de textos en attente, alors qu’il quittait le Kazakhstan pour entrer en Iran. » Ceci n’est pas une manchette d’un journal satirique, c’est le compte rendu des déboires rencontrés par des chercheurs qui avaient équipé d’un GPS cet aigle des steppes, et 12 autres, afin de pouvoir mieux comprendre les migrations de cet oiseau.

« Au milieu de l’après-midi, il roulait à environ 40 kilomètres à l’heure sur son vélo de montagne, lorsqu’il est entré en collision avec un grizzly. » Ce n’est pas le premier paragraphe d’une nouvelle tirée d’un journal satirique, mais un événement qui a conduit un comité d’enquête à tirer la sonnette d’alarme.

Les écureuils ne sont-ils rien d’autre que de petites boules de stress ? Il est certain qu’ils ont tendance à réagir très vite au moindre danger, mais il semble qu’ils sont également attentifs aux signaux que s’envoient… les oiseaux.

Le cinéaste français Gilles De Maistre est surtout connu  pour son travail dans le documentaire. Il n’est donc pas surprenant que son retour au grand écran et à la fiction soit librement inspiré de véritables problèmes actuels. Dommage, pourtant, que son message se perd un peu dans les élans mélodramatiques plus ou moins crédibles de son récit. Il est désormais possible néanmoins de rattraper Mia and the White Lion, ce joli film familial, chez soi.

À la différence de ses cousins australiens que sont le kangourou, le koala et le wombat, le seul marsupial originaire des États-Unis n’est pas populaire. Le magazine Mother Jones du 26 juillet rend pourtant hommage à l’opossum, ce fascinant mammifère.

Un million d’espèces menacées de disparition dans le prochain siècle: le nombre calamiteux a fait les manchettes un peu partout lundi dernier. Et pour ceux qui voudraient le balayer du revers de la main sous le prétexte que l’espèce humaine, elle, n’a rien à craindre, un avertissement: « cette perte constitue une menace directe pour le bien-être des humains dans toutes les régions du monde ».

Après Animaux (2016) accueillant des animaux de ferme en résidence, le NTE a convoqué des bébés pour le second volet d’une trilogie sur la notion de présence au théâtre. La pièce Bébés a lieu du 24 avril au 19 mai dans le foyer de la caserne de l’Espace Libre.