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Mai 2019: une carcasse de jaguar sans tête se retrouve dans une décharge du Belize, petit pays d’Amérique centrale. Cette trouvaille macabre, dernière d’une série, provoque l’indignation et inspire les autorités, les citoyens et les entreprises, à offrir une récompense de 8000 $ US pour des renseignements menant à l’arrestation du tueur de jaguars.

La symphonie de la nature s’assourdit sous la pression des changements climatiques, rapporte le New York Times. De nombreux écologistes et scientifiques constatent que les parcs s’emplissent moins qu’avant des bourdonnements, trilles d’oiseaux et autres croassements.

Pour briser la monotonie des appels vidéos et autres téléconférences en ces temps de confinement, une ferme de la Silicon Valley offre à tous les télétravailleurs d’inviter un lama lors de la prochaine réunion. Ou encore une chèvre, puisque le projet se nomme Goat2Meeting.

Drôle de visionnement que cette relecture « disney-isé » de Dolittle délaissant les décors modernes des versions de Eddie Murphy et s’entourant de CGI et de faux animaux, alors qu’il devient évident dans tous les recoins qu’on ne savait plus où donner de la tête pour sauver le projet du naufrage. L’échec finit par surpasser la fascination malsaine qui nous habite toutefois tout du long.

On n’est plus aussi sûr que le pangolin soit la source du coronavirus. L’affirmation selon laquelle le virus de ce petit mammifère serait génétiquement semblable à notre virus à 99%, s’avère être une erreur de communication  « embarrassante ». 

Jacques Cartier avait décrit ce grand pingouin lors de son premier voyage dans la région, en 1534. Trois siècles plus tard, l’espèce était virtuellement éteinte. La dernière observation remonte à 1844. Une étude vient d’identifier le responsable de son extinction. 

Si les biologistes ont passé depuis longtemps l’époque où parler de comportement homosexuel chez les animaux était tabou, il n’en reste pas moins que ce comportement reste pour eux un casse-tête, du strict point de vue de l’évolution: comment concilier le fait qu’on en trouve dans des centaines d’espèces séparées par des millions d’années?

Les humains pourraient devoir leur place comme espèce dominante de la planète à leur capacité à partager et à coopérer les uns avec les autres, selon une nouvelle étude publiée dans le Journal of Anthropological Research.

« L’aigle a soudain envoyé des centaines de textos en attente, alors qu’il quittait le Kazakhstan pour entrer en Iran. » Ceci n’est pas une manchette d’un journal satirique, c’est le compte rendu des déboires rencontrés par des chercheurs qui avaient équipé d’un GPS cet aigle des steppes, et 12 autres, afin de pouvoir mieux comprendre les migrations de cet oiseau.

« Au milieu de l’après-midi, il roulait à environ 40 kilomètres à l’heure sur son vélo de montagne, lorsqu’il est entré en collision avec un grizzly. » Ce n’est pas le premier paragraphe d’une nouvelle tirée d’un journal satirique, mais un événement qui a conduit un comité d’enquête à tirer la sonnette d’alarme.