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Environ deux milliards de personnes en plus devraient habiter notre planète d’ici le milieu du 21e siècle, portant la population mondiale à environ 9,7 milliards d’individus, révèle un nouveau rapport des Nations unies. En 2100, la Terre devrait compter près de 11 milliards d’humains.

Près de 20% de la population mondiale vit près d’un bassin versant sous pression où les futurs incidents provoqués par les changements climatiques pourraient menacer l’accès à une ressource essentielle à l’agriculture, à l’industrie et à la vie elle-même, selon une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Californie à Irvine et d’ailleurs, étude publiée lundi dans Nature Sustainability.

« Il fait plus froid que sur Mars! », ont martelé la semaine dernière plusieurs internautes, devant les températures glaciales qui frappaient une partie des États-Unis et du Canada. Les Martiens protesteraient, constate le Détecteur de rumeurs.

Qualifié de misogyne, à tort, parce qu’il racontait des histoires d’amour hétérosexuelles, est l’une des bribes que nous largue le cinéaste André Forcier au long du moyen-métrage Des histoires inventées (2018) de Jean-Marc E. Roy. Projeté à la Cinémathèque québécoise dès le 25 janvier, le documentaire donne envie de revoir la cinématographie indélébile.

La démocratie a fait du surplace en 2018, indique un récent rapport publié par le magazine spécialisé The Economist. L’étude, qui en est à sa 11e édition annuelle, précise toutefois qu’une plus faible proportion de la population vivait au sein d’un régime démocratique en 2018 que l’année précédente.

L’ADN d’un squelette du Nevada vieux de 10 000 ans et l’ADN d’un squelette du Brésil vieux de 10 000 ans montrent des similitudes étonnantes. Assez pour que, conjointement avec d’autres nouveaux génomes préhistoriques, ils offrent le portrait d’une migration extrêmement rapide, dès que les ancêtres des Amérindiens ont mis pied sur le continent.

L’immigration est devenue un enjeu électoral dans plusieurs pays, voire une obsession pour certains gouvernements. À entendre des politiciens comme Donald Trump aux États-Unis ou Matteo Salvini en Italie, on pourrait conclure qu’une catastrophe est en devenir: leur pays serait en train d’être submergés par des vagues d’immigrants hostiles ou de réfugiés dangereux.

L’hiver dernier, la métropole du Cap, en Afrique du Sud, faisait face à une telle pénurie d’eau qu’on envisageait d’en couper l’approvisionnement et de rationner la distribution de bouteilles d’eau à ses 4 millions d’habitants. Le Cap a fini par y échapper. Mais qu’arriverait-il si la prochaine victime, dans un pays riche, était non pas une, mais plusieurs grandes villes des États-Unis?