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Après les plats surgelés, le café! L’épicurien Christian Bégin et sa Curieuse compagnie se tournent vers les Îles-de-la-Madeleine pour offrir un café certes non pas récolté sur place, bien entendu, mais plutôt « amélioré » grâce aux eaux salées du Golfe avant d’y être torréfié. Le résultat est plus qu’agréable et saura convaincre les caféinomanes.

Une équipe de chercheurs appartenant à plusieurs centres scientifiques allemands, dont l’Institut Max Planck de biologie cellulaire moléculaire et de génétique, a découvert des preuves suggérant que les peuples du mésolithique mangeaient bien mieux que ce que l’on croyait.

Plutôt qu’une taxe sur le sucre, une taxe sur la viande? Des chercheurs américains et britanniques évaluent les bénéfices possibles à des dizaines de millions de dollars par an en soins de santé, et plus de 200 000 vies sauvées.

À travers le monde, plusieurs personnes ont eu une grand-mère qui était très insistante sur les carottes: « Mange tes carottes, c’est bon pour tes yeux. » Le Détecteur de rumeurs confirme… que ce n’est pas juste un remède de grand-mère.

C’était à prévoir: après avoir détecté des microplastiques chez des oiseaux et des poissons du supermarché, il était inévitable qu’on en trouve tôt ou tard chez nous. Plus précisément… dans nos crottes.

Marie-Hélène Boisvert aime le vin. L’expression est un peu vague, certes, mais force est d’admettre qu’au fil des années, celle qui est entre autres gestionnaire de communauté pour la Société des alcools du Québec (SAQ) a continuellement renforcé et développé son amour des bonnes choses, qu’elles soient charnues, fruitées ou encore aromatiques.

Peu de gens sont heureux d’apprendre qu’avec le réchauffement, arriveront davantage d’espèces d’insectes. Mais la perspective s’assombrit lorsqu’on réalise que davantage d’insectes signifie aussi moins de nourriture disponible.

Être obèse rend malade, on le sait : risques accrus de maladies cardiovasculaires et chroniques. Mais l’obésité maltraiterait aussi le cerveau en entraînant une perte de matière grise.

Dans les jardins communautaires et collectifs, les habitants des villes commencent à récolter les fruits de leurs efforts. Et en parallèle, comme chaque année, depuis 10 ans, un pavillon de la Faculté des sciences de l’UQÀM s’est animé à la fin août de conférences et ateliers sur les différentes manières de cultiver la ville — en plus des enjeux et défis que rencontrent les jardiniers urbains.