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Qu’arriverait-il si notre système agro-alimentaire était géré de façon plus durable à travers le monde ? Il pourrait peut-être nourrir 10 milliards de personnes. Combien peut-il en nourrir à l’heure actuelle sans dépasser les limites de la planète? À peine 3,4 milliards, selon un calcul récent.

Une diète cétogène, qui propose de tirer 99% des calories à partir du gras et des protéines, et seulement 1% à partir des hydrates de carbone, permet d’obtenir des avantages en matière de santé à court terme, mais entraîne des effets négatifs après environ une semaine, ont découvert des chercheurs de l’Université Yale lors de tests sur des souris.

Ce n’est pas une surprise que d’apprendre que les changements climatiques vont altérer les conditions de production de notre alimentation. Et ce n’est pas une surprise non plus que d’apprendre que les pays en voie de développement seront les plus durement touchés. Mais à quel point? 

Ces dernières années, les burgers commerciaux de « viandes végétales » se sont multipliés, surfant sur leur aura santé et sur le courant environnemental. Si l’impact environnemental d’une diminution de la viande rouge ne fait aucun doute, le Détecteur de rumeurs a découvert des bémols quant aux bénéfices pour la santé de ces burgers «sans viande». 

L’agriculture biologique vit actuellement l’une des plus grosses croissances de l’ensemble de l’industrie de l’alimentation, une croissance alimentée en bonne partie par une opposition aux pesticides ou une méfiance à leur égard. Mais un survol de la littérature sur les impacts du « bio » sur la santé conclut… qu’il n’existe pas suffisamment de preuves pour affirmer qu’elle fait une différence sur la santé.

L’Afrique australe est gravement menacée par une crise alimentaire, ce qui met à risque quelque 45 millions d’habitants, soutiennent l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le Fonds international de développement agricole (FIDA) et le Programme alimentaire mondiale (PAM).

Des chercheurs ont fait récemment beaucoup parler d’eux en concluant qu’il n’est pas vraiment nécessaire de réduire sa consommation de viande rouge ou de charcuteries pour prévenir cancers et maladies du cœur —ce qui va pourtant à l’encontre des recommandations en vigueur depuis des années. Que doit-on en comprendre?