Les femmes, les minorités sexuelles et et les Autochtones sont les catégories de gens ayant subi le plus d’incidents criminels.
Browsing: agressions sexuelles
Ito Shiori a été violée. La jeune femme, fort probablement droguée, a été agressée sexuellement et violée par un journaliste haut placé auprès de qui elle avait demandé des conseils pour décrocher un poste. Confrontée à un système judiciaire où tout semble encore à faire pour s’attaquer à ces crimes sexuels, Mme Shiori signe La boîte noire, le témoignage brutal de son parcours du combattant.
Quoi de mieux, pour lancer la nouvelle année, qu’un film féministe, anarchiste, progressiste, satyrique, violent et gore? Accrochez-vous, la version 2019 de Rembobinage démarre en lion.
Barry Levinson nous replonge au cœur d’un scandale d’abus sexuel ayant secoué l’Université Penn State et tout le milieu du sport universitaire en 2011, avec le téléfilm biographique Paterno.
Qu’est-ce qui explique que le mot-clic #MeToo ait eu, cette fois, un impact? Sans doute la force du nombre, qui a submergé la tendance à blâmer en premier les victimes d’agressions à caractère sexuel. Or, cet élan de solidarité est d’autant plus étonnant que le fait de blâmer les victimes aurait des racines profondément ancrées dans notre psychologie — et peut-être même dans la biologie de l’évolution.
Dans une université américaine, Noelle, étudiante en arts plastiques, est violée lors d’une soirée par un étudiant qui lui était tombé dans l’oeil. Mortifiée, terrorisée, horrifiée par le traitement qu’on lui réserve – avait-elle bu? A-t-elle provoqué son présumé agresseur? Que portait-elle? -, elle décide plutôt de prendre les choses en main et de se venger des violeurs en liberté sur le campus.
Berlin, 1945. La capitale du IIIe Reich croule sous les bombes alliées. Mais dans les décombres, le peuple allemand craint bien pire: l’envahisseur soviétique.
Des manifestations prennent corps au sein de plusieurs villes et universités québécoises pour dénoncer la « culture du viol » à la suite des récentes agressions perpétrées à l’Université Laval. Les administrations des universités minimisent trop souvent ce phénomène et se sentent bien démunies pour l’éradiquer.
En début d’année, deux enquêtes internes de l’université de l’État de Washington ont conclu à la culpabilité d’un professeur accusé de harcèlement sexuel. En réaction, le professeur a décidé de poursuivre l’université… pour atteinte à ses droits de professeur permanent.