Hugo Prévost talks with Thom Shanker, director of the Project for Media and National Security at George Washington University, and former war correspondent.
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En entrant dans cet univers aride, Roxanne Bouchard a dû faire la guerre à ses préjugés. Au terme de sa difficile mission, elle est ressortie plus ouverte à l’autre, rassurée de réaliser que les cœurs ne sont pas tous blindés comme des tanks.
Ennuyeux, mal ficelé et redondant, Kandahar semble s’approprier la question afghane sans même chercher à s’y intéresser sur le plan humain ou philosophique. Un film d’action comme il s’en est déjà fait des centaines, à oublier dans les poubelles de l’histoire.
Pour vraiment rendre compte que l’importance de cet enjeu, il aurait tout à fait été possible de réaliser un documentaire, par exemple; à l’opposé, on aurait préféré conserver un rythme le plus endiablé possible, histoire d’avoir un film d’action particulièrement solide à se mettre sous la dent.
« Les attaques contre les écoles, les enseignants et les étudiants dans des endroits comme le Cameroun, la République démocratique du Congo, le Mali, l’État de Palestine et l’Ukraine se poursuivent depuis des décennies, en toute impunité et sans aucune responsabilité. »
Les démocraties ont perdu bien des plumes, notamment en raison des mesures sanitaires imposées pour lutter contre la pandémie.
Le documentaire lève le voile sur ce qui s’est passé au sein du Bureau ovale, dans Air Force One et ailleurs, le jour fatidique des attentats.
La moitié des Américains jugent que quitter l’Afghanistan était une bonne idée, mais 69% croient que l’évacuation n’a pas donné les résultats escomptés.
Qu’arrivera-t-il aux intellectuels, aux chercheurs, aux étudiants afghans, après le retour des talibans, un groupe extrémiste et obscurantiste?
Les films de guerre se suivent et se ressemblent. Et lancer un film de guerre le 4 juillet, jour de l’indépendance des États-Unis, laisse présager de la mise en marché d’un navet mettant en vedette des brutes aux muscles gonflés qui prennent un peu trop de plaisir à tirer sur des ennemis bien souvent d’une autre couleur de peau que la leur. Avec The Outpost, pourtant, le réalisateur Rod Lurie fait plus que mouche: il montre la vraie horreur de la guerre, non pas uniquement dans les balles qui siffles et les explosions, mais avec cette incompréhension entre les peuples qui garantit les bains de sang.