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Il y a 650 millions d’années, vivait dans les océans une petite bestiole qui fut peut-être l’ancêtre de tous les animaux d’aujourd’hui, nous y compris. Et cette bestiole serait venue avec quelque chose d’étonnamment durable: jusqu’à 55% de nos gènes étaient peut-être déjà présents dans ce tout premier animal.

Les virus qui nous affectent aujourd’hui nous accompagnent depuis très longtemps. Une équipe de chercheurs chinois et australiens démontre que certains ont évolué avec nos ancêtres depuis des centaines de millions d’années.

En observant des gènes « fantômes » dans certaines populations d’Afrique de l’Ouest, des chercheurs de l’Université de Californie à Los Angeles ont ajouté au débat sur les rencontres entre nos ancêtres Homo sapiens et d’autres espèces archaïques et disparues, telles l’homme de Néandertal.

La Journée mondiale du sida, le 1er décembre, nous rappelle que, loin d’être éradiqué, le VIH — virus de l’immunodéficience humaine — poursuit son hécatombe, en particulier dans les pays du Sud. Pendant ce temps, la recherche cible de nouvelles frontières, comme de réduire la persistance du virus dans le corps des personnes atteintes.

Le champion toutes catégories de nos gènes, selon le regard très particulier des scientifiques? TP53. Il a droit, en moyenne, à deux articles… par jour!

Des chercheurs de l’Université de la Californie à Riverside ont mis au point des moustiques transgéniques qui expriment une enzyme spéciale, l’enzyme Cas9, dans leur lignée germinale – c’est-à-dire dans les caractéristiques génétiques qui seront transmises aux descendants.

L’imposant ADN du blé tendre, le plus cultivé sur la planète, est enfin déchiffré, plus d’une décennie après les premiers efforts de séquençage.

Sommes-nous à deux doigts de pouvoir manipuler des gènes humains pour prévenir des maladies? C’est ce que laissent croire des résultats de recherche qui ont continué de s’additionner en 2017 et qui, tous, tournent autour de la technologie CRISPR.

Prouver qu’on est « Blanc » à 100 %, voilà la nouvelle lubie des suprémacistes américains. Rien de tel qu’un test génétique réalisé avec un échantillon de salive, pour prouver la pureté de ses origines. Encore faut-il être prêt à en accepter les résultats.