« Des environnements familial et scolaire positifs ont un impact à long terme important sur les résultats d’un enfant et ses perspectives d’avenir, et la composition génétique d’un individu ne devrait jamais être utilisée pour classer quelqu’un comme étant destiné à échouer. »
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Les biologistes n’ont pas d’explications quant à l’utilité de génomes aussi ambitieux. En théorie, un plus gros génome signifie une plus grosse dépense d’énergie pour l’être vivant, puisqu’il lui faut continuellement « accéder » aux parties du génome qui produisent les protéines nécessaires à son bon fonctionnement.
Cet ancêtre faisait vraisemblablement partie d’un écosystème peuplé d’autres bactéries primitives, aujourd’hui disparues. Il disposait également d’un système primitif pour se défendre contre les virus, eux aussi déjà présents.
Pour ajouter à la complexité du portrait, les plus anciens des génomes détectés révèlent que ces chasseurs-cueilleurs auraient eux-mêmes pris la place de populations qui étaient déjà sur place. Ou du moins, qui étaient déjà passées par là.
Par essais et erreurs, les experts tentent de découvrir les véritables fonctions de ces gènes ou, à l’inverse, de découvrir quel serait le génome « minimal » qui permettrait encore à un tel organisme de vivre et de se reproduire.
Même s’il est vrai que certains groupes ethniques ont été plus touchés par la pandémie de COVID-19, les facteurs socio-économiques semblent avoir joué un rôle déterminant, dès le début de la pandémie.
Le tigre de Tasmanie n’était pas un tigre, comme son nom le laisse croire, mais un marsupial carnivore de la taille d’un loup. Accusé de tuer les moutons, il avait été chassé en masse par les colons européens installés sur l’île de Tasmanie, au large de l’Australie, au 19e siècle. L’espèce avait aussi vécu en Australie, jusqu’à il y a environ 3000 ans.
Ces débats font parfois oublier que les modifications génétiques font partie intégrante des méthodes traditionnelles de sélection végétale employés par les agriculteurs.
L’autre bémol est qu’on ignore encore jusqu’où cette technologie permettra vraiment d’aller. On en a donc pour quelques années encore à continuer de défricher ce nouveau territoire avant de pouvoir vraiment en mesurer les limites.
Il faut se rappeler que si des os et des dents peuvent survivre pendant des centaines de millions d’années, il n’en est pas de même de la partie de leur contenu qui intéresse les biologistes: les gènes.