Est-il possible que les trois quarts de notre ADN soient inutiles? Après 20 ans d’un débat qui dit tantôt oui, tantôt non, une nouvelle étude fait pencher le balancier vers l’inutile.
Est-il possible que les trois quarts de notre ADN soient inutiles? Après 20 ans d’un débat qui dit tantôt oui, tantôt non, une nouvelle étude fait pencher le balancier vers l’inutile.
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