D’ici 2030, plaide l’UNICEF, les sommes consacrées à cette adaptation doivent atteindre au moins 300 milliards de dollars par an pour l’ensemble de la planète, afin d’éviter le pires pour les jeunes exposés à la chaleur extrême.
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Les espèces disposent de bien peu de bonnes options lorsqu’il est question de survie face aux changements climatiques; elles peuvent s’adapter génétiquement aux nouvelles conditions, modifier leur territoire, ou les deux à la fois. Mais une nouvelle étude publié dans le magazine spécialisé PNAS indique que les conflits survenant entre espèces qui s’adaptent et changent de territoire pourrait mener les experts à sous-estimer les extinctions, en plus de souligner l’importance de la connectivité entre les territoires.
Il faudra investir 5,3 milliards de dollars. Par année. Voilà la conclusion à laquelle sont parvenus la Fédération canadienne des municipalités (FCM) et le Bureau d’assurance du Canada (BAC), dans un nouveau rapport, si l’on souhaite envisager un pays où les villes sont véritablement adaptées aux changements climatiques.
Le rapport de la Commission globale sur l’adaptation, déposé lundi, contient des recommandations qui pourraient satisfaire autant les climatosceptiques que le reste de l’humanité: développer des systèmes d’alerte aux désastres, adapter les infrastructures côtières et mieux protéger les marais et zones humides, barrières naturelles en cas d’inondations.