Dans le royaume de Caldaria, seule la force permet de s’imposer. Et c’est justement par l’épée que le joueur, nouvelle pièce sur l’échiquier du pouvoir, régnera éventuellement sur l’univers de Mount and Blade Warband.
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C’est un foutoir particulièrement pitoyable que représente le Criminal de Ariel Vromen, qui a à peine l’étoffe nécessaire pour être qualifié d’ambitieux. Comme quoi le spectateur se fera berner par l’impressionnante distribution qui s’est probablement fait offrir un film bien plus intéressant que celui qui nous est livré au final.
Dans l’ultime dilemme à savoir si trop c’est trop ou trop c’est comme pas assez, disons que Marvel (sous la gouverne de l’impitoyable Disney) commence à se faire roi, produisant à nouveau un produit générique qui ne manque certainement pas d’éléments intéressants, mais offrant bien peu de profondeur pour en justifier l’ensemble. Reste alors une formule néanmoins gagnante qui continue d’avoir toute une longueur d’avance sur DC Comics, proposant à la ligne près la même prémisse que Batman V Superman: Dawn of Justice sans le pathétisme de ce dernier.
Alors que la réalité virtuelle prend peu à peu d’assaut notre 21e siècle, Hardcore Henry a envie de révolutionner le cinéma et d’offrir une proposition qui ne manque certainement pas d’audace. Dommage, toutefois, que ses tours de passe-passe soient tous sauf suffisants pour impressionner, lassant plus rapidement qu’autrement son spectateur au lieu de l’emplir d’énergie.
Ah, Frankenstein… ou plutôt son monstre, même si le second a tendance à prendre la place du premier dans l’imaginaire collectif. Aux pieds de l’oeuvre monumentale de Mary Shelley sont venus s’échouer quantité d’adaptations cinématographiques, et Victor Frankenstein, la dernière en date, ne fait hélas pas exception.
Deux fils à papa mégalomanes, mais dépressifs, cachant tous deux une identité secrète, décident de se livrer une guerre sans merci dans un jeu de chat et de souris contrôlé sournoisement par un millionnaire psychotique. Dans tout autre film ce serait le synopsis d’un sérieux cas de démence, mais ici, c’est la prémisse d’un nouvel univers interminable de superhéros en guise d’histoire, si l’on ose accepter qu’il y en a bien une…
Des explosions! Un grappin! Encore des explosions! La très populaire série Just Cause est de retour avec un troisième volet toujours plus ambitieux, toujours plus vaste, et surtout toujours plus chargé d’effets de particules qui volent dans tous les sens.
Succès surprise pour des tas de raisons, Olympus Has Fallen a fait exploser le box-office il y a trois ans. Pourtant, même s’il était réalisé par Antoine Fuqua et que sa distribution était plus que prestigieuse, l’exercice ne volait pas nécessairement bien haut ce qui explique difficilement pourquoi on a voulu y faire une suite. Dieu merci, celle-ci réussit le pari risqué d’être encore terriblement plus pire que son prédécesseur, et ça, franchement, ce n’était pas donné.
»Et puisse le sort vous être favorable! » La célèbre phrase tirée de la série Hunger Games résonne indéniablement dans la tête du joueur lorsque vient le temps de se lancer dans The Culling, un jeu de combat massivement multijoueur développé par Xaviant.
À force de trop vouloir en faire, l’adaptation fort attendue du personnage de bandes dessinéesDeadpool s’investit certainement dans l’irrévérence, mais préfère user de facilités à la chaîne au lieu de prioriser l’audace. Le résultat, équivalent à un délire de petits garçons qui sont tombés sur la tête à plusieurs reprises, est rapidement lassant, ça, bien sûr, si l’on implique qu’il a été ne serait-ce qu’un peu amusant ici ou là.