Twister était assurément en avance sur son temps, alors que les changements climatiques donnent de nos jours naissance à des saisons des tornades de plus en plus dévastatrices, et cette version remastérisée en ultra-haute définition constitue le prétexte parfait pour voir (ou revoir) l’un des meilleurs films catastrophe jamais réalisés.
Browsing: action
Une proposition comme celle-là n’arrive pas tous les jours et même si beaucoup essaieront d’en copier le modèle, c’est fort probablement une occasion qui ne reviendra plus jamais (ce sera difficile de réunir avec autant de timing tous les éléments gagnants pour un succès comme celui-ci). Deadpool & Wolverine ne changera pas le monde, mais il offre tout un divertissement.
Hugo Prévost and Robert Hiltz talk old game mechanics, possible market saturation and gunning down monsters with Alex Lotz, managing producer at Ziggurat.
Twisters n’est donc pas votre film catastrophe habituel, et c’est tant mieux. La présence improbable, mais aussi gagnante que compétente du cinéaste derrière le film Oscarisé Minari y est d’ailleurs certainement pour beaucoup.
Ultimement, que les singes soient maîtres du monde ou pas ne change largement rien, dans ce Kingdom of the Planet of the Apes. On a quand même droit aux clichés éculés du genre. Le tout avec une réalisation générique de la part de la personne à la barre des Maze Runner. Rien, bref, pour être autre chose qu’un divertissement franchement banal.
Il n’y a rien de mal à tenter sa chance et souhaiter donner vie à sa vision, lorsque vient le temps de créer un jeu vidéo. Mais One Way Road: Firehunt est si… beige, si ordinaire, si banal, si oubliable. Pas mauvais à un point tel que l’on finirait par s’en rappeler, ne serait-ce que pour le maudire. Juste… ennuyeux. Mal ficelé. Bref, même s’il est gratuit, passe votre tour.
Si l’on cherche un excellent film de mission qui tourne mal, dans la jungle, on pourra regarder le fantastique Predator. Autrement, Land of Bad permet certainement d’occuper deux heures de notre journée.
Hugo Prévost et Kevin Laforest s’installent confortablement, rafraîchissement en main, pour parler de ce divertissement définitivement destiné aux nostalgiques.
Toutes les belles fioritures de Beat Hazard 3 semblent avoir encore besoin d’amour, même si le jeu a déjà passé pas mal de temps en accès anticipé. Il reste bien sûr le jeu en solo, mais dans ce cas, si l’on possède un précédent volet de la trilogie, l’achat de ce troisième titre de la série peut faire l’objet d’un débat.
Le jeu n’a rien de transcendant, on s’entend, et il faudra répéter les mêmes niveaux à de nombreuses reprises pour espérer disposer de compétences suffisamment développées afin d’espérer l’emporter. Mais ces niveaux sont assez diversifiés pour rendre la chose agréable, surtout si l’on se dit qu’on est là pour se vider le cerveau, pas pour construire un empire, ou résoudre des problèmes de logistique.