Si Blue Beetle a raté son coup au box-office, ce n’est pas parce qu’il est mauvais, loin de là, mais simplement parce qu’à l’exception de sa saveur latine, le long-métrage ne propose rien qu’on n’ait déjà vu mille fois dans les autres films du genre. Pour cette raison, seuls les inconditionnels du personnage de Jaime Reyes et des histoires de superhéros y trouveront leur compte.
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Sympathique pendant quelques minutes, puis rapidement abrutissant et de moins en moins intéressant, Mercenaries of the Kingdom: First Blood est beaucoup trop ambitieux pour son propre bien. Il faudra certainement attendre une future version plus complète. Ou encore jouer à autre chose.
Véritable prouesse visuelle, jeu à la profondeur mécanique franchement intéressante, il ne fait aucun doute que Death Must Die méritera les honneurs du genre. Ce sera entièrement mérité.
De quoi retrouver, en version contemporaine, ces jeux d’actions remplis d’explosions et de sons 8-bits des années 1990.
Spellbound Survivors ressemble à du shovelware, ces logiciels et jeux produits à la chaîne, pour quelques sous, dans l’espoir de tromper des consommateurs et de récupérer son investissement.
Quels sont les avantages de Warhaven, dans ce cas? Eh bien, c’est gratuit, pour commencer. On devine que cela implique des microtransactions à quelque part dans l’équation, mais autrement, cela ne coûte effectivement rien d’installer et de lancer ce jeu.
Bien entendu, le titre n’en est encore qu’à sa version de démonstration, avec plusieurs classes, planètes et autres caractéristiques qui demeurent inaccessibles. Malgré tout, l’ensemble est franchement prometteur, et il est envisageable d’engloutir de nombreuses heures pour tuer un monstre de plus, ou encore récolter une pépite supplémentaire…
Ceux qui souhaitaient qu’Assassin’s Creed revienne à ses racines et ceux qui préféraient la direction RPG prise par la franchise dans les dernières années n’auront probablement pas la même appréciation du jeu, mais peu importe votre camp, il est indéniable que Mirage offre une expérience d’une grande qualité.
Le succès d’un bon roman d’espionnage dépend très, très largement de son atmosphère. Ici, Septembre avant l’apocalypse a tout de la forme, mais pas assez du fond. Son atmosphère est ainsi limitée à un charabia technique inintéressant et une absence de substance.
Avec huit épisodes fort divertissants et une qualité d’animation toujours à la hauteur des attentes, cette première saison de Castlevania: Nocturne prépare très bien le terrain pour une suite qui devrait s’avérer être franchement haute en couleurs.