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Multiplication des classes virtuelles, mais en contrepartie des salles de cours désertes, des laboratoires inactifs ou fonctionnant avec un personnel minimal et d’énormes baisses de revenus: les universités ont vu leur quotidien changer radicalement avec la pandémie. Et un retour à la normale n’est pas à l’horizon.

La pandémie de la COVID-19 a généré son lot de théories du complot. Certains croient que des humains ont créé le virus, d’autres pensent plutôt que les tours 5G rendent les gens malades, sans compter ceux qui croient carrément que le coronavirus n’existe tout simplement pas.

Il a beaucoup été question de l’approche de la Suède depuis le début de la pandémie. Sa gestion de la crise, assez unique, lui a valu de nombreuses critiques. S’agit-il d’un échec ou le verdict est-il encore à venir?

Une compagnie virtuellement inconnue du milieu scientifique aurait-elle pu créer à elle seule une immense base de données des dossiers de plus d’un millier d’hôpitaux sur tous les continents? Dans cette histoire qui restera dans les mémoires sous le nom de Lancetgate, ce qui étonne n’est pas tant qu’un entrepreneur manifestement très ambitieux soit allé aussi loin, mais que personne chez The Lancet n’ait flairé le piège.

Alors que le Québec voit sa courbe de cas de coronavirus redescendre progressivement, les experts, comme partout ailleurs dans le monde, continuent de craindre une deuxième vague. Le Détecteur de rumeurs s’est demandé quelle forme pourrait prendre cette vague… ou ces vagues.

Au moment où le Québec vit son déconfinement, plusieurs se demandent s’ils doivent vraiment garder leur distance des personnes qui ne sont pas malades. C’est ignorer qu’on peut transmettre le virus sans avoir de symptômes et que certaines personnes n’en développent jamais. Des explications.

Beaucoup d’Américains ont été soulagés ce mois-ci par les lignes directrices de leur Centre de contrôle des maladies (CDC): le coronavirus ne se transmet pas beaucoup par les surfaces des objets. Mais en réalité, il y avait longtemps que le CDC avait dit ça, et il n’y a pas réellement eu de changements dans ses lignes directrices.

L’épidémie de fausses nouvelles autour du coronavirus continue de frapper très fort, et les chiffres rappellent plus que jamais à quel point le problème tourne autour des réseaux sociaux. La solution viendra-t-elle de plateformes qui prendront acte de leurs responsabilités, ou d’usagers qui comprendront mieux ce que « désinformation » veut dire?

Dès le début de l’épidémie de la COVID-19, les responsables de la Santé publique, au Québec comme ailleurs, ont insisté sur l’âge, comme facteur de risque. On a identifié les 70 ans et plus comme étant les plus susceptibles de subir des complications majeures, d’être hospitalisés aux soins intensifs et, éventuellement, d’en mourir… Mais l’âge n’est pas le seul facteur de risque.

La COVID-19 frappe encore mais déjà, des chercheurs s’attèlent à déterminer d’où viendra la prochaine. Prédire l’inévitable pourrait-il être un jour possible?