Parmi les squelettes qui déambulaient cette année à l’Halloween, plusieurs arboraient des traits plus esthétiques qu’à l’habitude. Ils se sont inspirés des maquillages et des costumes de la fête des Morts mexicaine qui se déroule aussi du 31 octobre au 1er novembre.
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Le Groupe Capitales Médias poursuit peu à peu sa transformation médiatique, après la scission au sein de chez Gesca qui donna naissance à la nouvelle entité journalistique. L’entreprise a ainsi annoncé mardi le lancement de six applications mobiles destinées à tout autant de publications dites « régionales ».
Seul ou en groupe, avec ou contre des amis ou de parfaits inconnus, par un pluvieux après-midi dominical ou aux petites heures du matin, avec une manette ou une poignée de dés en main… l’humain joue. Le phénomène ne date pas d’hier, bien entendu, et ce passe-temps immémorial a traversé bon nombre d’époques pour en adopter les tendances, les aspects sociaux et les manies qui les caractérisent. En cette ère d’omniprésence de la technologie, cependant, le jeu de société, pilier traditionnel des activités sociales de groupe, est confronté à un nouveau phénomène. Mais le jeu de société change-t-il pour autant?
Que faire face à cette crise qui secoue les médias? Se concentrer sur le journalisme local, pardi! C’est la solution qu’a avancé hier Robert Picard, du Journal of Media Business Studies, dans le cadre du colloque « Le journal indépendant, vue de l’esprit ou phare de la démocratie? » tenu à la Grande Bibliothèque.
En cette époque où l’information est devenue un gigantesque raz-de-marée déferlant sur tout et partout, sans laisser de place (ou si peu) à l’analyse et à la réflexion, il est parfois bon de prendre du recul et de s’interroger sur l’orientation que doit prendre le journalisme. À l’ère de Facebook, de la messagerie instantanée et de la pensée philosophique en 140 caractères ou moins, une poignée de collaborateurs du Devoir se sont réunis dans le cadre du colloque Le Devoir: la quête du sens à l’heure du Web 2.0 pour discuter de l’orientation que devrait prendre le média imprimé pour s’adapter aux changements technologiques actuels.
À Montréal, le printemps se fait ressentir tôt cette année, mais le monde de la mode, toujours en avance sur son temps, pense déjà à l’automne-hiver 2011. C’est avec ardeur et envie de concrétiser son statut de capitale canadienne de la mode que la ville nous a offert une 18ème édition de la Semaine de mode de Montréal innovatrice.
La nouvelle a fait grand bruit dans les milieux journalistiques; dans un communiqué de presse publié lundi, Quebecor Media annonçait le lancement de deux hebdomadaires gratuits, à Laval et dans les Basses-Laurentides.
La crise des médias aurait-elle un impact sur les effectifs des regroupements de journalistes? Si le nombre de membres de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) a connu une baisse d’environ 8 % dans la dernière année, celui de l’Association des journalistes indépendants du Québec (AJIQ), lui, reste sur une pente légèrement ascendante.
Si la culture de la gratuité sur Internet nuit énormément aux entreprises de presse, elle force également ces dernières à innover pour trouver d’autres débouchés commerciaux.
La commissaire à la protection de la vie privée du Canada, Jennifer Stoddart, s’est faite hier rassurante face aux dossiers pouvant mettre en danger la vie privée des Canadiens. Prenant la parole lors de la soirée d’ouverture du Colloque sur la protection des renseignements personnels à l’UQAM, Mme Stoddart a soutenu que « les principes qui soutiennent les droits individuels sont constamment menacés », et s’est dite insultée de l’utilisation du discours sécuritaire national pour diminuer les droits de protection des données personnelles des citoyens.