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Des décennies de croissance de la banquise antarctique ont été effacées en trois ans: de 2014 à 2017, la couche de glace qui repose sur l’océan antarctique a perdu environ deux millions de kilomètres carrés, sans qu’on comprenne pourquoi.

Lorsque nous marchons dans les sous-bois, il nous arrive d’être surpris par la grande différence de températures entre le couvert forestier et les champs des alentours. Une récente étude s’est penchée sur les microclimats des forêts autour de la planète et les bénéfices qu’ils pourraient apporter en période de réchauffement climatique.

Une moyenne de 35 degrés Celsius sur le territoire français mercredi dernier — un record pour un mois de juin. Des pointes de 38 à 39 degrés en Allemagne, en Pologne et en République tchèque. Et un étourdissant 45 degrés vendredi en France. Si ça ne bat pas les records mondiaux de 50 degrés du Moyen-Orient ou du Pakistan, ça n’en est pas moins inquiétant pour des Européens, pour quatre raisons.

La plus récente « bouffée » de méthane sur Mars, détectée la semaine dernière, est aussi la plus forte de toutes celles détectées jusqu’ici. Mais le fait qu’elle se soit dissipée aussi vite fait partie du mystère.

Il existe sur l’île d’Oahu, dans l’archipel d’Hawaï, un biologiste qui occupe l’un des emplois les plus déprimants de la biologie: il prend soin des derniers survivants d’espèces qui sont sur le point de disparaître.

Le projet de télescope qui s’est heurté en 2014 au réveil de la culture traditionnelle hawaïenne, reprend vie: le gouverneur de cet État du Pacifique a annoncé une entente grâce à laquelle sa construction pourrait commencer en juillet.

La vitesse à laquelle fondent les glaciers de l’Himalaya a doublé en seulement 40 ans. L’information provient… d’anciens satellites espions.

Prédire la force des tremblements de terre… mais seulement après qu’ils aient commencé. Une étude qui a été saluée comme une percée rappelle simultanément combien la science des secousses sismiques nage encore dans l’incertitude.

Avec le recul historique, on a retenu que la première mission Apollo sur la Lune avait généré un énorme enthousiasme et contribué à changer la perception de notre place dans le cosmos. Mais on oublie que pendant les années précédentes, les Américains étaient plutôt mitigés à l’idée d’envoyer des hommes là-haut.