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Après avoir inspiré des artistes et des penseurs comme Richard Strauss et Friedrich Nietzsche, c’est au tour de l’auteur Richard Marazano et du dessinateur Amad Mir de s’attaquer à l’histoire du fondateur de la première religion monothéiste de l’humanité, avec une bande dessinée intitulée simplement Zarathustra.

De nos jours, il est difficile de ne pas penser à J.K. Rowlings dès qu’il est question d’école de magie et de créatures mythiques, mais avec ce premier tome intitulé Un jour je serai fantasticologue!, l’héroïne de la série Sorceline prouve qu’elle est davantage qu’une version féminine de Harry Potter.

Hollywood frappe à nouveau, et ne peut se contenter de laisser les œuvres de qualité supérieure se satisfaire d’elles-mêmes. Voilà donc qu’on doit s’empresser d’offrir une suite au magnifique Sicario de Denis Villeneuve, en ouvrant la voie à ce qui pourrait bien devenir une trilogie, alors que les idées de Taylor Sheridan finissent par perdre de leur superbe sans la prise en charge visionnaire d’un de nos Québécois favoris.

Dans la rubrique « Celui-là est resté caché dans ma pile », j’ai découvert La nuit recommencée de Leopoldo Brizuela, paru en 2012 sous le titre Una misma noche et chez Seuil en 2014 pour la traduction française. Brizuela est l’auteur de plus d’une dizaine d’ouvrages: romans, nouvelles, poésie et récit.

Paru chez Seuil le mois dernier, du le dernier roman de Jonathan Kellerman, dans sa traduction française, ne casse rien sauf, peut-être, l’envie de le lire jusqu’au bout. Ce fut hélas mon cas. Killeuse, oui c’est bien le titre, met en scène une thérapeute dont la tendre enfance a été faite d’abus et de négligence. Maintenant adulte, elle est thérapeute de jour, vamp de nuit et célibataire endurcie le reste du temps.

Le calvaire se poursuit pour June, alias OfFred, dans la deuxième saison de l’adaptation télévisuelle de The Handmaid’s Tale, le roman dystopique à succès de Margaret Atwood. Cette fois, la société théocratique de Gilead semble se rapprocher de l’éclatement, mais les forces de l’obscurantisme n’ont pas dit leur dernier mot.

Denys Arcand a jadis été un grand cinéaste. Plus de cinquante années ont passé depuis le début de son impressionnante carrière qui a certainement fait le tour du monde, et voilà que cet intellectuel, ce philosophe, cet artiste curieux, se met à réfléchir sur la chute. Celle de notre société, de notre réalité, mais certainement, aussi, sur la sienne.