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Abordant les questions métaphysiques, c’est en Suède que le grand cinéaste russe Andreï Tarkovski (1936-1986) a tourné son dernier film The Sacrifice (1986) projeté au Cinéma du Parc. La théorie sur l’art de l’homme de lettres allemand Goethe (1749-1832) est un bon point de départ pour analyser cette œuvre testamentaire.

Once again, Hugh Jackman is sent into the past, sports a set of sideburns, and faces obstacles affecting his family, his finance, and his freedom.  Only with a troupe of outcasts can he finally achieve the sense of excitement he truly craves. As Wolverine, he has an admantium skeleton, a berserker rage, and flurry of claws. This time, he portrays  P.T Barnum, of the Barnum & Bailey Circus fame, he sports a top hat, a golden voice, and throws around flourishes in choreographed dances.

Une autre année, une autre saison de Black Mirror. Une autre année et des poussières, devrait-on dire, puisque la nouvelle fournée d’épisodes de la série dystopique mise au point par le grinçant Charlie Booker est cette fois débarquée sur Netflix en plein congé des Fêtes, plutôt qu’à la fin de l’automne, comme ce fut le cas en 2016.

On le sait, Aaron Sorkin est de loin le scénariste le plus brillant et remarquable de sa génération, maniant l’intelligence comme personne et les mots et les dialogues comme un véritable dieu.

Si les comédies québécoises et les suites ont la cote, on mise toutefois sur l’originalité pour terminer l’une des années cinématographiques les plus lucratives depuis belle lurette. Reste à voir si les valeurs sûres sur lesquelles on mise sauront rallier le public pendant cette période où l’on aime tant se rassembler et… se cajoler.

Qu’on le veuille ou non, alors qu’on croyait l’avoir oublié, Antonio Banderas est en train de se recycler peu à peu en un genre de Jason Statham des séries B et a indubitablement du plaisir à jouer dans des productions inconnues dont personne n’a entendu parler.

Un peu à la manière de Tarantino, disons que le nom de Guillermo Del Toro possède une très grande influence en ce qui a trait au cinéma de genre. Le voilà de retour avec une œuvre qui risque de rendre sceptiques ses fidèles, mais jeter au plancher tous ceux qui jusqu’alors doutaient de lui. Il n’y a pas de doute, The Shape of Water est là pour plaire, coûte que coûte.