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Hollywood frappe à nouveau, et ne peut se contenter de laisser les œuvres de qualité supérieure se satisfaire d’elles-mêmes. Voilà donc qu’on doit s’empresser d’offrir une suite au magnifique Sicario de Denis Villeneuve, en ouvrant la voie à ce qui pourrait bien devenir une trilogie, alors que les idées de Taylor Sheridan finissent par perdre de leur superbe sans la prise en charge visionnaire d’un de nos Québécois favoris.

Le calvaire se poursuit pour June, alias OfFred, dans la deuxième saison de l’adaptation télévisuelle de The Handmaid’s Tale, le roman dystopique à succès de Margaret Atwood. Cette fois, la société théocratique de Gilead semble se rapprocher de l’éclatement, mais les forces de l’obscurantisme n’ont pas dit leur dernier mot.

Denys Arcand a jadis été un grand cinéaste. Plus de cinquante années ont passé depuis le début de son impressionnante carrière qui a certainement fait le tour du monde, et voilà que cet intellectuel, ce philosophe, cet artiste curieux, se met à réfléchir sur la chute. Celle de notre société, de notre réalité, mais certainement, aussi, sur la sienne.

Gare à vous, les robots se révoltent! Provoqué à la fin de la première saison de la série Westworld, diffusée à la fin de l’année 2016 sur les ondes de la chaîne spécialisée HBO, ce soulèvement d’androïdes représentaient le point tournant de 30 ans de travaux de l’énigmatique personnage d’Anthony Hopkins. Dans la deuxième saison, ces créatures maintenant libérées des chaînes imposées par leurs créateurs tenteront de résoudre l’un des grands mystères de l’existence: qu’est-ce que le libre-arbitre?

C’est une impressionnante distribution qu’a assemblée Pat Kiely pour son troisième long-métrage dont il a signé l’écriture et le scénario, mais cette énième variation sur les familles dysfonctionnelles tombe rapidement à plat, et ce même s’il se déroule dans un Vieux-Port de Montréal difficilement plus reconnaissable. Oserez-vous aborder Another Kind of Wedding, maintenant disponible en DVD?

Tous les éléments de prestige semblent être réunis pour faire du plus récent long-métrage de Nash Edgerton, Gringo ou La rançon en version française, un grand événement. Le résultat est bien autre dans ce cafouillis de belle tenure qui dégénère bien plus rapidement qu’on le souhaiterait. L’occasion idéale de tenter de remettre un peu d’ordre dans ce désastre qu’on s’explique difficilement avec sa venue récente en DVD.

Let me get this out of the way. I am not an avid advocate or opponent to review sites like www.imdb.com and Rotten Tomatoes. I admit, the score does influence me slightly, but it’s not often I will refuse to see a film based on it. However, movies with a rating of 60% or a 2.5 on 5 intrigue me. With a little push in either direction, they can be works of art to absolute failures. What does it take to take a movie out of mediocrity?