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La liberté journalistique était déjà menacée, que ce soit par les gouvernements de droite, par les entreprises, ou encore par le crime organisé. Voilà que la pandémie de COVID-19 s’abat sur le métier, avec les pertes de revenus, les fermetures et les mises à pied que cela laisse supposer. Pour Reporters sans frontières, qui présente son classement 2020 de la liberté de presse, les 10 prochaines années seront cruciales pour assurer la survie de la profession.

Le président américain a beau s’auto-congratuler tous les jours lors de ses séances de breffage officielles, à la Maison-Blanche, ses électeurs jugent qu’il a en fait été trop lent à réagir à la pandémie de COVID-19, une crise sanitaire sans précédent depuis un siècle qui a maintenant fait plus de 40 000 morts et trois quarts de million de malades au pays de l’Oncle Sam.

L’assemblée annuelle de la compagnie pharmaceutique Biogen, au début de mars, aurait été l’un des premiers exemples aux États-Unis de ce que les épidémiologistes appellent des évènements de « super-propagation » de la COVID-19: lorsqu’un petit rassemblement de personnes conduit à un grand nombre d’infections. 

La pandémie aura évincé tous les membres du groupe armé État islamique, les pirates informatiques et les régimes armés de la bombe atomique: selon un plus récent coup de sonde du Pew Research Center, c’est bel et bien le coronavirus qui représente, selon les Américains, la menace la plus importante envers à l’échelle internationale.

De ces beaux films imparfaits, mais nécessaires, l’irrésistible Kuessipan de Myriam Verreault, co-scénarisé par Naomi Fontaine et librement inspiré de son recueil de poésie du même nom, en fait certainement partie. En ces temps incertains, sa disponibilité à grande échelle autant physique que numérique le place en tête des suggestions pour s’ouvrir aux autres et se cicatriser le cœur.

Dans la foulée de la pandémie de COVID-19, qui a forcé le confinement d’une bonne partie de la population mondiale, la consommation de bande passante a grimpé en flèche. Avec comme conséquence, affirment de petits fournisseurs canadiens, qu’ils sont forcés de renégocier à prix très élevés leurs blocs de bande passante auprès des grands joueurs, ce qui pourrait les mener à la faillite. Ces indépendants réclament l’aide du Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC).