Beaucoup de créativité dans des détails comme la couleur des langues ou d’autres… Il faut regarder partout et ne pas trop chercher la logique de la narration. Les chœurs sont là pour émouvoir, plus que pour raconter.
Auteur/autrice : Sophie Jama
Ce sont les accusations contre les régimes en place en France qui répondent à la non-question de qui a tué le père du protagoniste, auteur du texte. Car le titre ne comporte pas de point d’interrogation.
Le mouvement hassidique, dans la période sombre qui vit son apparition, cherchait à atteindre le monde d’en haut par l’exaltation dans la musique et la danse. Pour Zafer, cette musique qui lui est chère provient d’un autre monde, un monde perdu et qu’il s’agit de faire revivre.
Peut-être la pièce a-t-elle besoin de se roder. Les acteurs sont irréprochables, pourtant. Je n’y ai pas ressenti la légèreté que j’y espérais, les bons mots et jusqu’à l’ironie qui atteint Molière lui-même.
Malaise dans la civilisation est un spectacle audacieux dans son intention et tout à fait réussi dans sa réalisation. Difficile de s’empêcher de rire du début à la fin. Et pourtant rien n’est drôle.
Tout est magnifique dans ce spectacle. La mise en scène est finement réglée, les décors, les éclairages et la musique parfaits. Quant aux artistes, ils sont tous plus talentueux les uns que les autres et se produisent, non seulement sans filet, mais au plus près du public.
Si les deux ballets proposés dans Double Murder, dans le cadre de Danse Danse, ont des tonalités très différentes, voire opposées, ils se complètent parfaitement dans une vision comico-tragique de la condition humaine.
La pièce Duo en morceaux, présentée au théâtre aux Écuries, est conçue autour de treize moments clés de l’histoire d’amour de Philippe et Clémentine. Mais chaque représentation n’en propose que sept parmi les seize, six tirés au hasard par les spectateurs et un offert comme un boni, à leur discrétion.
The Day the Wild Cried est une performance chorégraphique où la danse participe à la musique. La danseuse par sa gestuelle ne suit pas seulement la musique de fond, elle y participe grâce à différents capteurs installés sur son corps.
Le bureau de l’APA est à suivre dans ses propositions. Je parierais bien qu’on s’y amuse beaucoup au moment de la conception de ses spectacles, car ce plaisir est parfaitement ressenti lorsqu’on y assiste.