Dès le début de l’épidémie de la COVID-19, les responsables de la Santé publique, au Québec comme ailleurs, ont insisté sur l’âge, comme facteur de risque. On a identifié les 70 ans et plus comme étant les plus susceptibles de subir des complications majeures, d’être hospitalisés aux soins intensifs et, éventuellement, d’en mourir… Mais l’âge n’est pas le seul facteur de risque.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
La COVID-19 frappe encore mais déjà, des chercheurs s’attèlent à déterminer d’où viendra la prochaine. Prédire l’inévitable pourrait-il être un jour possible?
Les géologues pensent bien connaitre les bases de l’histoire de la Terre. Mais plus ils en apprennent, plus certains pans deviennent confus, comme en témoignent les controverses des dernières années autour de la chimie de la Terre primitive. Et une partie de la confusion vient du fait que certaines des roches qui pourraient régler les différends sont au sein de collections privées ou difficiles d’accès.
Parmi les rumeurs que cette pandémie a vu éclore, celle voulant que la COVID-19 soit le résultat d’une manipulation dans un laboratoire en Chine a la vie dure. Et pourtant, rien de nouveau sous le soleil, constate le Détecteur de rumeurs: des théories similaires ont accompagné chaque grande épidémie à travers l’Histoire.
Sept nouveaux coronavirus ont été découverts chez des chauves-souris en Afrique, rapporte une récente étude. Cette découverte réalisée au Gabon n’annonce pas de prochaines pandémies, assurent les chercheurs, mais élargit la fenêtre des connaissances sur cette famille très particulière de virus qui inquiète tant en ce moment.
Depuis le début de la pandémie, on entend dire qu’un vaccin pourrait être disponible dans 12 à 18 mois. Les plus optimistes évoquent même un délai de six mois, soit dès l’automne. Mais le fait qu’un vaccin soit « prêt » n’est pas la fin de l’histoire, constate le Détecteur de rumeurs.
L’interruption de la vie économique tout autour de la planète a eu une influence notable sur la pollution de l’air, comme le rappellent ces images de ciels bleus des villes et de joyaux naturels redécouverts, partagés récemment sur les réseaux sociaux. Mais pour les émissions de CO2, ce n’est pas aussi net.
L’une des premières personnes à avoir contracté le nouveau coronavirus aux États-Unis espère que son don de sang, riche d’anticorps, aidera à élaborer un traitement, alors que le virus a tué plus de 300 000 personnes à travers le monde, dont près de 100 000 dans son pays.
Les bienfaits du verdissement des villes ne sont plus à démontrer: réduction de la température de l’air, de la pollution et du bruit, en plus de promouvoir l’activité physique. Mais la multiplication des arbres risque-t-elle d’être nuisible à certains de ceux qui souffrent d’allergies saisonnières?
Parmi les théories qui associent la pandémie à la technologie de téléphonie cellulaire 5G, la plus facile à comprendre est celle qui prétend que le virus aurait frappé plus fort là où la 5G était déployée. Le Détecteur de rumeurs remet en doute cette relation de cause à effet.